1En jeu ce quâon accepte de risquer. On peut perdre ou gagner. 2Risquons un petit exercice quâavons-nous pu retirer du sĂ©minaire Encore ? Ă quoi ça sert ? Peut-ĂȘtre quâil ne sert Ă rien du tout. Nous avons dĂ©jĂ notre pratique du signifiant. Est-ce que jâaccepte de la perdre pour une pratique bien plus risquĂ©e, une pratique du RĂ©el et de la jouissance ? Petit exercice que chacun peut faire est-il prĂȘt Ă risquer ses repĂšres symboliques qui rendent dĂ©jĂ les plus grands services ? Pour quoi ? En vue de quoi ? Je laisse chacun Ă ses inspirations. 3Je cite Lacan qui dâemblĂ©e a proposĂ© Ă son auditoire le lit de jouissance Je vous laisse donc sur ce lit, Ă vos inspirations [1]. » Tenons-nous Ă cette petite rampe la jouissance proposĂ©e par le sĂ©minaire Encore, Ă quoi peut-elle bien servir ? Lâennui câest que La Jouissance se dĂ©finit comme ce qui ne sert Ă rien [2] ». Alors câest dĂ©jĂ fini Encore ne sert Ă rien, ne rend pas de service pour la cure analytique ; ça nâen dit pas beaucoup plus long ». 4La Jouissance dĂ©finie comme ce qui ne sert Ă rien » nâest pas seulement une transformation de la technique de la cure ; câest un vĂ©ritable bombardement. Risque maximal. Tout ce qui pouvait servir est potentiellement anĂ©anti. Ce bouleversement est structurellement beaucoup plus grave que le changement dâĂ©conomie psychique ou lâapparition de nouvelles pathologies. Ces nouveautĂ©s chamboulent le sens du service, mais le service y reste de mise dâune façon ou dâune autre. Avec La Jouissance, le service disparaĂźt. 5Bombardement. Et pourtant, Lacan dit plus loin On peut faire des tas de choses avec les meubles Ă partir du moment, par exemple, oĂč lâon a essuyĂ© un siĂšge ou un bombardement [3]. » Avec les morceaux de chaises, on peut allumer un feu, bricoler, que sais-je ? 6Ăa ne sert Ă rien. NâempĂȘche, ça nous laisse une rĂ©serve, il y a des choses qui servent dans la cure, et puis il y aurait la rĂ©serve, on ne sait jamais, ça peut toujours servir. Je pointe la rĂ©serve »⊠la rĂ©serve de jouissance est impliquĂ©e dans le droit. Nous â analystes et analysants â, nous avons droit Ă cette rĂ©serve ; nous faisons ce que nous pouvons, mais il y a le champ oĂč ça ne sert Ă rien, nous ne savons et ne pouvons pas tout câest une interprĂ©tation possible du pastout, ce nâest pas la bonne. Câest un droit que ce champ qui ne sert Ă rien et qui sâappelle la jouissance et bien sĂ»r rien ne force Ă aller voir dans la rĂ©serve. Nous pourrions en rester Ă cette rĂ©serve, Ă un je nâen veux rien savoir » qui veut dire je ne veux pas aller voir dans la rĂ©serve » et basta ; ça nâen dit pas beaucoup plus long ». 7Rien ne force Ă tenir compte de ce qui ne sert Ă rien sauf le surmoi. Le surmoi câest lâimpĂ©ratif de la jouissance jouis !ââ ». ImpĂ©ratif bizarre qui commande de se servir de ce qui ne sert Ă rien ? Câest le commandement qui part dâoĂč ? Câest bien lĂ que se trouve le point tournant quâinterroge le discours analytique [4]. » Câest tout autre chose que de garder le concept de la jouissance en rĂ©serve, dans la perspective dâen faire usage au moment voulu. Ce commandement au contraire est compact, il nây a pas dâinterstice. Avec ce commandement qui ne cesse pas de sâĂ©crire, nous sommes introduits dans un espace connexe, dâun seul tenant. Que je sois en train de faire lâamour, en train de parler ou en train de faire un supermarchĂ©, la mĂȘme jouissance est convoquĂ©e comme ce qui ne sert fondamentalement Ă rien. Partout se trouve le point tournant du discours analytique. Jouissance par ici, jouissance par lĂ , jouissance toujours. Soutenir la prĂ©sence dâune telle jouissance omniprĂ©sente, ce nâest pas rĂ©pĂ©ter simplement ça ne sert Ă rien » ; câest lâengagement dans un je nâen veux rien savoir » de ce Ă quoi ça pourrait servir. Je veux entrer dans cette zone oĂč ça nâa aucune utilitĂ© pragmatique. Câest bien ainsi que se dĂ©finit le pratique de la Critique de la raison pratique. Comment le fonder ? Kant se sortait du paradoxal surmoi grĂące au service de lâuniversalitĂ© qui fait sens. Dans Kant avec Sade », Lacan avance un impĂ©ratif insensĂ©, il faut surtout que ça ne serve Ă rien. ImpĂ©ratif catĂ©gorique qui prend toute la place et qui demande une rĂ©ponse pratique. Mais aussi impĂ©ratif insensĂ© ça part dâoĂč cet insensĂ© ? Et qui demande une rĂ©ponse dans le savoir. 8 Jouis », un impĂ©ratif compact de La Jouissance, toutes catĂ©gories confondues, de la jouissance de lâidiot Ă la jouissance de lâAutre. Une seule jouissance donc, bien quâon puisse et mĂȘme quâon doive en parler de diffĂ©rentes façons nous allons voir pourquoi jouissance de lâAutre, jouissance phallique, joui-sens, et objet a qui constitue la quatriĂšme forme de jouissance. Il nây a aucune coupure topologique dĂ©finitive entre ces quatre formes. 91. La jouissance de lâAutre. Jouis » demande une double rĂ©ponse, une rĂ©ponse savante Ă la question de savoir dâoĂč vient cet insensĂ© surmoi et une rĂ©ponse pratique au commandement. Pour la rĂ©ponse savante Ă la question dâoĂč ça vient », Freud avait inventĂ© la solution, ça viendrait des figures parentales ou de la sociĂ©tĂ© ; nous dirons plutĂŽt que ça vient de lâAutre, pour dire que nous ne savons pas. Ăa vient dâoĂč ? On ne sait pas. Et ça va oĂč ? Pour la rĂ©ponse pratique, il suffirait donc de jouir. Allonsy, jouissons il est Ă noter que lâimpĂ©ratif nâa pas de premiĂšre personne du singulier. La Jouissance ne peut pas ĂȘtre tout simplement mienne », sans ĂȘtre au service du moi, ce sombre despote [5] » ; si elle Ă©tait mienne, elle me servirait et ne serait plus La Jouissance. Ăa va donc on ne sait oĂč ; ça va pour lâAutre, câest la jouissance de lâAutre, câest lâAutre qui jouit. MĂȘme dans cette forme fruste de jouissance quâest la masturbation, la jouissance est toujours jouissance de lâAutre. 102. La jouissance phallique. La jouissance de lâAutre nâest pas une pure abstraction. Elle sâincarne dans le corps de lâautre qui le symbolise ». PrĂȘte-moi ton corps pour ma jouissance et je te prĂȘte le mien pour la tienne. » TrĂšs bien ! Mais le corps jouissant pourrait ainsi servir Ă lâautre. On est conscient de lâobjection un tel Ă©change de bons procĂ©dĂ©s Ă©tablirait bel et bien un rapport sexuel de services rĂ©ciproques, de fantasmes conjuguĂ©s le conjungo. Le phallus, câest lâobjection de conscience faite par lâun des deux ĂȘtres sexuĂ©s au service Ă rendre Ă lâautre [6]. » Pas de service militaire ! Le phallus lĂ ce nâest plus un symbole ou un signifiant ; câest une fonction. Le phallus est pure relance sans point de dĂ©part, sans fonction dĂ©terminĂ©e pour le diriger, sans point dâaboutissement oĂč il pourrait servir Ă une opĂ©ration militaire quelconque. Cela dit, le phallus comme pure relance peut ĂȘtre convoquĂ© de bien des façons a minima par le masturbateur Jâai ce quâil faut, tout va trĂšs bien sans service » ; de façon bien plus subtile par lâhystĂ©rique Je suis dĂ©jĂ phallique, et votre service de relance est inutile. » Mine de dĂ©fendre chacun leur jouissance personnelle, le masturbateur et lâhystĂ©rique dĂ©fendent La Jouissance en tant que telle, en tant quâelle nâest Ă la botte dâaucun service. 113. Le joui sens. Câest un exercice de sens dâoĂč vient ce commandement jouis ? » et oĂč va-t-il ? » Mais câest un sens qui vient de nulle part et qui nâaboutit pas Ă un sens ; la jouissance du sens câest la jouissance qui, de part en part dirait-on sâil y avait des parts, de bout en bout dirait-il sâil y avait des bouts, est non-sense sans faire la part des choses. Les trois tiennent ensemble ; et si on lĂąche lâune de ces trois prĂ©sentations, on ne recouvre plus La Jouissance. 12Petite remarque sur lâamour. Nous avons parlĂ© des trois premiĂšres façons dâexposer la jouissance, et pourtant une seule jouissance, La Jouissance il nây a pas de La barrĂ©. La Jouissance est compacte. Trois jouissances qui nâen font quâune. Jouissance de lâAutre qui va Ă son effacement. Jouissance du phallus qui va Ă la castration. Jouissance du sens qui nâest quâun point de relance dans le non-sense. Trois jouissances qui nâen font quâune. 13Ne faire quâun, câest lâamour. Lâamour câest de faire Un. » Y a dâlâUn [7]. » Lâamour surgit de la faille compacte, lieu de La Jouissance. Pas moyen de parler de jouissance sans parler dâamour. Lacan ironise dans la deuxiĂšme sĂ©ance parlez-moi dâamour ». Oh dites-nous des choses tendres. » Serre-moi fort », disait lâautre tout aussi ironiquement comme sâil sâagissait de resserrer les boulons⊠ou les nĆuds pour voir Ă quoi ça sert » la topologie [8]. Si Lacan ironise sur la parole dâamour, il reconnaĂźt Ă la derniĂšre sĂ©ance du sĂ©minaire avoir parlĂ© de lâamour Jâai en effet quelque peu parlĂ© de lâamour. » Mais La jouissance de lâAutre nâest pas le signe de lâamour », revient comme un refrain tout au long du sĂ©minaire [9]. Je dois tenir Ă la fois Ă La Jouissance une seule jouissance et Ă la fois au fait que ça ne fait pas un, que ce nâest pas le signe de lâamour. Ăa ne peut rester Un, mais ce nâest pas non plus deux, ou trois, ou quatre. 14Comment voir cela ? Par lâexercice. 15Le tournant du sĂ©minaire lâexercice. Le point pivot du sĂ©minaire Encore, dit Lacan, câest le savoir Sachez [10]. » Câest encore un commandement. Mais pas nâimporte quel savoir, pas le savoir encyclopĂ©dique, pas le savoir du lacanisme non plus Le point pivot de ce que jâai avancĂ© cette annĂ©e concerne ce quâil en est du savoir, dont jâai accentuĂ© que lâexercice ne pouvait reprĂ©senter quâune jouissance. Câest lĂ la clĂ©, le point tournant [11]. » Il lâavait dĂ©jĂ dit quelques sĂ©ances plus tĂŽt La fondation dâun savoir, câest ce que je viens de dire câest que la jouissance de son exercice, câest la mĂȘme que celle de son acquisition [12] » ; acquĂ©rir La Jouissance câest lâacquĂ©rir par lâexercice. Lâexercice. Le petit exercice que je vous proposais, ou lâexercice de vos inspirations sur le lit de la jouissance [13]. Ou lâexercice de linguisterie [14]. Exercice de se situer dans je te demande de refuser ce que je tâoffre parce que câest pas ça [15] ». Comme je le proposais dâemblĂ©e, il sâagirait de se permettre de sâoffrir une reprĂ©sentation du service du sĂ©minaire Encore, pour pouvoir la refuser, parce que câest pas ça. Le mot exercice » veut dire tenir en mouvement [16] ». Lâexercice demande de tenir en mouvement Ă partir du mouvement, de sâen tenir Ă lâexercice, avec cette prĂ©tention que ça recouvre tout ; ça paraĂźt trĂšs prĂ©tentieux. Il faut â jouis » â revendiquer cette prĂ©tention Ă recouvrir entiĂšrement le champ de la jouissance, dans ce que je dis, mais aussi dans le dire de lâanalysant, de tout analysant y compris ledit psychotique. Mais câest une prĂ©tention en mouvement qui dĂ©couvre sa propre faille. La faille du câest pas ça » et puis la faille » quâil faille » recouvrir entiĂšrement le champ compact de La Jouissance par un exercice dans les ouverts. 16Nous devons opĂ©rer ce recouvrement par le truchement dâun ensemble dâespaces ouverts. Lâouverture se joue dans la butĂ©e de la lettre qui relance Câest le substantiel de la fonction phallique », puis une Autre jouissance que la jouissance phallique », et sâil y en avait une autre, il ne faudrait pas que ce soit celle-là », le joui sens qui ouvre tout le non-sense. Exercice phallique, exercice de lâAutre, exercice du non-sense, un ensemble fini dâexercices Ă condition quâil sâagisse chaque fois dâespaces ouverts [17]. Ă chaque fois, il faut que lâexercice doive rater la fermeture Le dire tout rĂ©ussit, ça nâempĂȘche pas dire pas tout de rĂ©ussir aussi, Ă condition que ce soit de la mĂȘme maniĂšre, câest-Ă -dire que ça rate [18]. » Dire tout et dire pas tout rĂ©ussissent de la mĂȘme façon rĂ©ussissent Ă rater le service, Ă rater le point de dĂ©part en mĂȘme temps que le point dâaboutissement. 17Le pastout nâest pas une gentille rĂ©serve qui nous laisse Ă un je nâen veux rien savoir » qui concernerait lâusage des propositions universelles, il nâest pas une particuliĂšre maximale. Il est au contraire lâexercice dâune universelle de surcroĂźt. Comme le proposait Rebecca Majster, il est le surcroĂźt de lecture du RĂ©el ». OĂč trouver ce surcroĂźt ? Dans ce qui est dĂ©jĂ lĂ , dans les mĂ©moires [19] certes, mais pas dans les mĂ©moires inertes des archives poussiĂ©reuses on sait dĂ©jĂ tout ça » ; le pastout est bien plutĂŽt dans les mĂ©moires vives oĂč le savoir continue Ă sâinventer par lâexercice câest ça le sens du mathĂšme ». Dire pas tout » rate aussi, câest-Ă -dire que nous sommes poussĂ©s encore et encore Ă dire tout », sans relĂąche pour en percevoir la faille. Le pastout est lâexercice dâun dire poussĂ© bien au-delĂ du rangement dans lâuniverselle classique [20]. Ă partir du pastout en acte, nous nâabordons plus ici la jouissance de lâextĂ©rieur, comme une rĂ©serve dont nous prĂ©serverions le droit, mais Ă partir de lâexercice du dire, de ne servir Ă rien. 18Le psychanalyste semble bien ne servir Ă rien. ExpĂ©rience commune quâil faudrait rĂ©veiller au moment oĂč le psychanalyste commence Ă croire quâil sert Ă quelque chose. Il peut croire quâil sert Ă quelque chose, il faut dĂ©croire Jouis. » Lâanalyste jouit-il derriĂšre le divan ? En tout cas, il prĂ©sentifie cette dimension pour lâexercice de la cure. Il prĂ©sentifie la jouissance de lâAutre le silence absolu, mĂȘme sâil dit quelque chose, la jouissance phallique comme objection de conscience Ă tout ce qui pourrait ĂȘtre dâun service quelconque pour lâĂȘtre sexuĂ© qui est sur le divan, la jouissance du sens comme lâinsensĂ© qui relance le sens. Mais tout ça reste ouvert ; tout ça sâest laissĂ© Ă la discrĂ©tion de lâanalysant pourvu que lâanalyste lui laisse la place. 19Comment comprendre cette ouverture nĂ©cessaire ? Pas comme un vide, pas dans le cadre dâune logique formaliste qui fonctionnerait Ă vide. Au contraire, dans la ligne de lâexposĂ© de Jean Brini sur la logique intuitionniste, comme un Symbolique qui part dâun concret atteignable, constructible, effectivement prĂ©sent. Ainsi la phrase ce nâest pas ma mĂšre ». Il ne sâagit pas de faire fonctionner la phrase dans le cadre dâune logique classique ; et notamment il ne sâagit pas de construire lâaffirmation câest ma mĂšre » par nĂ©gation de la nĂ©gation sous prĂ©texte que ladite phrase est une dĂ©nĂ©gation comme une logique formaliste pourrait la produire. Si la logique formaliste vide la proposition de son contenu sĂ©mantique et ici affectif, câest pour mieux la remplir de son Symbolique rĂ©duit au calcul et au chiffrage et clĂŽturer par une affirmation massive qui ne laisse aucune Ă©chappatoire Câest ma mĂšre, point final. » LâĂ©lucubration est fermĂ©e. La vĂ©ritable ouverture de nos trois façons de dire la jouissance jouissance de lâAutre, jouissance phallique et joui-sens sâenracine au contraire dans lâeffectivitĂ© de la forme insĂ©parable de lâacte qui lui donne une contenance. Il sâagit dâopĂ©rer non pas Ă partir dâun symbolique formaliste qui oublie le contenu, mais Ă partir dâun symbolique effectif qui ne nous donne pas simplement la forme dâune dĂ©nĂ©gation, mais lâacte de dire de ce nâest pas ma mĂšre » avec tout ce quâil comporte dâinsu. DâoĂč lâimpossibilitĂ© radicale de calculer une conclusion qui ferme comme câest donc sa mĂšre ». Lâouverture est lĂ , Ă mĂȘme lâaffirmation ce nâest pas ma mĂšre » qui, dĂšs son apparition, est lĂ sans pouvoir servir Ă aucune conclusion, comme un dĂ©chet. 204. Lâobjet a. Que ça reste ouvert est garanti par ces dĂ©chets qui par dĂ©finition ne servent plus Ă rien. Caput mortuum, disait-on dans les exercices dâalchimiste. Les scories de la mine. Qui peuvent sâamonceler en terrils. Pas seulement comme index ou constatation dâun travail de production. Il faut y aller. Mais non pas au charbon, non pas Ă la production. Le surmoi » commande jouis » il faut y aller au dĂ©chet de toute production. Câest un exercice que de sây prĂ©cipiter. Non pas au fond de la mine oĂč ça peut toujours servir, mais dans la fonction du dĂ©chet. La fonction de lâanalyste est de sây prĂ©cipiter, de sây emblant, de sâemblant dâobjet a. Sur quelle scĂšne ? Le lieu de cet exercice reste bien sĂ»r nos bons vieux discours. Nous avons pris le risque de mettre en jeu notre pratique du signifiant. Chaque fait de discours nous offre sa propre complĂ©tude, câest bien pour cela quâil peut tourner en rond sur lui-mĂȘme. Mais rencontrer lâimpuissance de chaque discours Ă retrouver sa vĂ©ritĂ©, câest toujours rĂ©pĂ©ter lâexercice câest pas ça ». La fonction de la lettre et de lâĂ©crit câest de buter sur câest pas ça ». Nâimporte quel fait de discours a ceci de bon quâil fait de la lettre [21]. » Sâexercer dans la fonction de lâĂ©crit. Se prĂ©cipiter dans lâimpuissance du discours. 21Les quatre discours sont des discours de jouissance non pas en tant quâils produisent un produit dont on pourrait, dirait-on, jouir » le maĂźtre jouirait de lâobjet, lâhystĂ©rique du savoir, lâuniversitaire du sujet barrĂ©, lâanalyste du signifiant ; il sâagit lĂ dâune acception de la jouissance comme ce qui sert bel et bien au petit monde du maĂźtre, de lâhystĂ©rique, de lâuniversitaire ou de lâanalyste. Câest encore dâune telle jouissance » quâil est question quand on parle dâun monde oĂč il faudrait jouir Ă tout prix », câest le contraire de la jouissance comme ce qui ne sert Ă rien, ça sert bien aux capitalistes et consorts. Les discours sont bien plutĂŽt discours de jouissance en tant que les produits de chacun de ces discours sont de purs dĂ©chets, des scories, des capita mortuum » de lâusine, de pures lettres sans signification qui ne peuvent plus servir Ă entretenir le discours sur lui-mĂȘme. Un pur surplus, soit un plus de jouir ». En ce sens, quatre lettres sont produites par les quatre discours a, S, $, ?. Quatre façons de dire La Jouissance qui ne sert Ă rien lâobjet a comme jouissance Ă partir du rien, jouissance dĂ©montrĂ©e par le discours du maĂźtre, la jouissance de lâAutre pour autant quâil soit barrĂ©, jouissance dĂ©montrĂ©e par le discours de lâhystĂ©rique, le joui-sens qui jouit pour autant que le sens aboutit au non-sens du sujet, jouissance dĂ©montrĂ©e par le discours de lâuniversitaire, la jouissance phallique pour autant que le phallus soit pure relance, jouissance dĂ©montrĂ©e par le discours de lâ jouissance des formules de la sexuation22Ces quatre lettres scories des quatre discours se retrouvent prĂ©cisĂ©ment dans le tableau des formules de la sexuation [22]. Pourtant deux difficultĂ©s se prĂ©sentent ici. PremiĂšrement, Ă plusieurs reprises, Lacan nâa retenu que trois lettres et non pas quatre a, S? [23]. OĂč est passĂ©e la quatriĂšme, $ ? DeuxiĂšme remarque dans le tableau des formules, il y a non pas quatre lettres, mais bien cinq, la cinquiĂšme lettre Ă©tant . 23PremiĂšrement $. Câest lâexercice qui met en jeu $ pour celui qui sây risque en prenant lâaudace de lâexception il existe un x non phi de x. DeuxiĂšmement ce risque insensĂ©, il ne peut le prendre que parce quâil y a la cinquiĂšme lettre, que parce quâil nâentre dans aucune dĂ©finition cinquiĂšme lettre ou , il nâexiste pas de x non phi de x. 24Le point tournant de lâexercice, câest le sujet barrĂ© qui se risque Ă lâexercice de la jouissance. Lâanalysant ? Lâanalyste ? Lâun et lâautre. Lâanalyste favorisera ce qui ne sert Ă rien et tiendra la place de ce rien. Lâanalysant sâen retrouve au point tournant » que Lacan cite au dĂ©but et Ă la fin du sĂ©minaire [24]. Le point tournant câest le sujet barrĂ© qui se risque Ă lâexercice ; mais câest en mĂȘme temps le La dâoĂč part lâexercice risquĂ© câest le deuxiĂšme tour de LâĂ©tourdit ». 25Un mur, lâamur, sĂ©pare les deux cĂŽtĂ©s du tableau de la sexuation, le cĂŽtĂ© homme Ă gauche et le cĂŽtĂ© femme Ă droite. Ce mur canalise le chemin, câest-Ă -dire la mĂ©thode. Du La barrĂ© partent deux flĂšches, lâune va vers S de grand A barrĂ© situĂ© du mĂȘme cĂŽtĂ© du mur, lâautre va vers ? de lâautre cĂŽtĂ© du mur quâil faudrait donc traverser, forcer, casser pour aboutir Ă ?. Une femme hĂ©siterait-elle donc, tel lâĂąne de Buridan, entre deux destins, lâun qui lui est propre et lâautre qui ne pourrait se produire que par un coup de force ? TantĂŽt lâun, tantĂŽt lâautre ? Posons plutĂŽt que la flĂšche qui va vers ? indique une fin et non les dĂ©tours nĂ©cessaires pour y parvenir. Le cheminement primordial est indiquĂ© au contraire par S de grand A barrĂ© et il conduit parfaitement Ă ?, pourvu quâon veuille bien suivre le mur qui a la forme dâune bouteille de Klein. Câest en restant fidĂšle Ă S de grand A barrĂ© quâune femme retrouvera au mieux le ?, et ce ? sâen trouvera heureusement transformĂ© ; la fonction phallique ne sera plus seulement une flĂšche, mais une reprise de la double flĂšche, une relance qui caractĂ©rise prĂ©cisĂ©ment ce quâest la fonction phallique en tant que telle [25]. 26Il en va de mĂȘme pour la flĂšche qui va de $ au petit a situĂ© de lâautre cĂŽtĂ© du mur. Le fantasme articule bien les deux lettres dans la reprĂ©sentation ; mais il nâest pas possible de le rĂ©aliser sinon en passant par le parcours complet des formules de la sexuation. Impossible de forer un passage Ă travers le mur, câest bien plutĂŽt de nouveau en suivant le mur de la bouteille de Klein quâun homme pourra articuler effectivement son fantasme et passer de $ au petit a. 27Une semaine aprĂšs lâexposition du tableau de la sexuation, Lacan reprend lâexercice. Comment dĂ©crire cet exercice qui est Ă la fois celui du La barrĂ© et du $ ? Ce point tournant, Lacan ne cesse de nous inviter Ă le pratiquer. Dans cette sĂ©ance il est prĂ©sentĂ© dans ce quâil appelle la graphicisation [26] » câest la quatriĂšme lettre $ soutenue par la cinquiĂšme lettre La barrĂ© qui tourne dans un triangle dont les trois cĂŽtĂ©s ne sont autres que les trois autres lettres a, S, et ?. 28Il sâagit de partir dâun angle du triangle, qui est lĂ comme le trou du RĂ©el, par lequel sâengage le processus qui va tourner autour de La Jouissance, qui est recouverte ou encore cadrĂ©e par le triangle des trois jouissances les trois cĂŽtĂ©s du triangle. Ce trajet aller-retour Ă partir du trou du RĂ©el dans le triangle ne tient que parce quâil est tenu par J », câest-Ă -dire La Jouissance. Cette boucle entrant puis ressortant par le trou mĂ©nagĂ© Ă lâangle du RĂ©el, comment se fait-il quâelle ne lĂąche pas ? Comment se fait-il quâelle ne foute pas le camp ? Comment se fait-il quâelle tienne dans lâexercice ? La boucle qui passe dans le mĂȘme vide dâun rond rĂ©el et qui ne lui est donc pas enchaĂźnĂ©e reste dans le circuit parce quâelle est retenue par une clavette qui lâempĂȘche de sortir du trou. Cette clavette est notĂ©e, Ă cet endroit du sĂ©minaire, comme le J de La Jouissance. Câest une premiĂšre Ă©bauche du nĆud borromĂ©en. Tout cela demanderait un plus ample dĂ©veloppement qui sort des limites de mon propos ici. On trouve dĂ©jĂ cette Ă©bauche du borromĂ©en dans la figuration de la pulsion prĂ©sentĂ©e au cours du sĂ©minaire XI. Dans le sĂ©minaire XI, câest lâobjet a qui, Ă la place de La Jouissance, maintient le circuit de la pulsion dans le trou. La boucle aim du circuit de la pulsion [27] ne tient dans son bord que parce quâil y a lâobjet a autour duquel elle tourne et qui la retient. La boucle qui sort du RĂ©el et qui tourne dans le triangle des trois lettres a, S et ? ne tient que parce quâelle tourne autour de J », la substance jouissante ». 29VĂ©rifions maintenant quâil sâagit bien de la structure gĂ©nĂ©rale qui transforme la portĂ©e du langage, de nos anciens outils symboliques que nous avons risquĂ©s dans la lecture du sĂ©minaire dire de la jouissance30 Je vais dire une fois de plus ce qui est de mon dire et qui sâĂ©nonce Il nây a pas de mĂ©talangage [28]. » Il nây a pas de langage qui puisse servir Ă dire ce que sont les effets de langage. Il nây a pas dâAutre de lâAutre. Câest dire quâau plus haut niveau, il nây a pas quelque chose qui puisse servir. Câest dĂ©jĂ lâaffirmation de la jouissance. Elle est lĂ trĂšs tĂŽt chez Lacan. Rien de nouveau. On sâen rappelle Je suis Ă la place dâoĂč se vocifĂšre que lâunivers est un dĂ©faut dans la puretĂ© du Non-Ătreââ. Et ceci non pas sans raison, car Ă se garder, cette place fait languir lâĂtre lui-mĂȘme. Elle sâappelle la Jouissance, et câest elle dont le dĂ©faut rendrait vain lâunivers [29]. » Constat. Tout est dĂ©jĂ dit sur la jouissance, semble-t-il ; lâunivers de Encore [30] nâest, de ce point de vue-lĂ , pas fort diffĂ©rent. Constat consternant. DĂ©solĂ© de ne pouvoir vous aider plus loin. 31Le dire de Lacan Il nây a pas de mĂ©talangage nâest pas un constat ; il implique une fiction, une Ă©criture qui fait buter. De mĂȘme que le pastout nâest pas la constatation prudente dâun monde oĂč la particuliĂšre maximale rĂšgne mieux vaudrait Ă©viter les propositions universelles », mais bien lâexercice exigeant du parcours des quatre formules de la sexuation, de mĂȘme dire il nây a pas de mĂ©talangage » implique de le faire exister, implique lâacte de faire exister le mĂ©talangage [31]. Le dire qui concerne le mĂ©talangage non seulement parce quâon parle du mĂ©talangage, mais parce que tout dire implique la production de lâobjet mĂ©talangage » nâest pas un constat â stabitat » stabilisĂ© â, mais bien un labile labitat », dĂ©stabilisant, butant scandaleusement dans son propre exercice Ă condition de poser le point tournant qui le fait exister. 32Pas possible dâentrer dans lâexercice du dire sans un point de fixion » qui lui sert de point tournant. Mais pas nâimporte quelle fixation. Comment comprendre ces points ? Il faut fixer un point pour quâil puisse y avoir relance. Cette fixation ne pourra jamais se faire que par un coinçage dans la triple dimension du Symbolique, de lâImaginaire et du RĂ©el. Le point nâest plus dĂ©fini par des coordonnĂ©es cartĂ©siennes mais par trois approches RSI qui coincent suffisamment pour que lâon puisse encore tourner autour. Ce point-coinçage câest prĂ©cisĂ©ment ce qui est dĂ©jĂ expliquĂ© dans lâĂ©bauche du nĆud borromĂ©en telle que le prĂ©sente la graphicisation » examinĂ©e plus haut. Câest le point tournant qui sert Ă La Jouissance, plus exactement qui sert Ă recouvrir La Jouissance par ces ouverts que sont la jouissance de lâAutre, la jouissance phallique et la jouissance du sens joui. 33La substance jouissante », câest prĂ©cisĂ©ment cette fiction-fixation posĂ©e pour que lâexercice de La Jouissance puisse fonctionner. Câest un oxymore la substance est posĂ©e comme ce qui ne change pas, mais en elle-mĂȘme elle est dĂ©jĂ jouissance. Une telle substance est prĂ©cisĂ©ment ce qui doit servir Ă tenir ce qui tient Ă ne pas servir. Exercice sans fin. 34Lâintroduction de la topologie des nĆuds fait tenir ensemble par lâexercice, alors que la jouissance auparavant pouvait sembler errer dans la volatilitĂ© du pur Non-Ătre. Le nouveau apportĂ© Ă notre clinique par Encore câest lâexercice de fixions » de fixer un mĂ©talangage, lâobjet a, un point tournant, de coincer le point tournant pour que se joue le pur dire qui ne sert Ă rien [32]. Pratique du dire de lalangue câest-Ă -dire sans service. Lâanalyse sâengage, sâexerce pour cette jouissance et en cette jouissance. Notes [1] J. Lacan, Le SĂ©minaire, Livre XX 1972-1973, Encore, p. 13 [2] Ibid., p. 13. [3] Ibid., p. 55. [4] Ibid., p. 13. [5] Djalal Al-Dim Al-Rumi citĂ© par Freud dans Schreber Car lĂ oĂč lâamour sâĂ©veille, meurt le moi ce sombre despote » OC X, p. 288. [6] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 16. [7] Ibid., p. 15. [8] Marc Darmon reprend, dĂ©plie et desserre la question en pratique, Ă quoi ça sert » dans son remarquable article Serre-moi fort », La revue lacanienne n° 6 mars 2010, Les implications cliniques du nĆud borromĂ©en. [9] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 13-14, 63, 83, 217. [10] AE, p. 454. [11] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 217. [12] Ibid., p. 154 [13] Ibid., p. 13. [14] Ainsi que le dĂ©ploie Cyril Veken dans un article Ă©clairant âJe te demande de me refuser ce que je tâoffre, parce que câest pas çaâ Exercice de linguisterie », La clinique lacanienne, n° 6, mars 2010. [15] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 193. [16] Cf. Bloch-Von Wartburg, Dictionnaire Ă©tymologique de la langue française, p. 246. [17] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 18-19. La version du Seuil a malheureusement remplacĂ© cette finitude par son contraire. [18] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 107. [19] Cf. Rebecca Majster, De la persistance dâinutilitĂ© », La cĂ©libataire, n° 20, Ă©tĂ© 2010, p. 7. [20] Je renvoie Ă mon article Dire le pastout », Essaim n° 22, qui critique le livre de Le Gaufey, Le pastout de Lacan. [21] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 79. [22] Ibid., p. 131. [23] Ibid., p. 70, puis 151. SA est Ă lire comme une seule lettre, de mĂȘme que S et L. [24] Dâabord jouis ! » Câest le commandement qui part dâoĂč ? Câest bien lĂ que se trouve le point tournant quâinterroge le discours analytique » p. 13. Puis Le point pivot de ce que jâai avancĂ© cette annĂ©e concerne ce quâil en est du savoir, dont jâai accentuĂ© que lâexercice ne pouvait reprĂ©senter quâune jouissance. Câest lĂ la clĂ©, le point tournant » p. 217. [25] Cf. mon ouvrage, La relance du phallus. [26] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 148 et 151 [27] J. Lacan, Le SĂ©minaire, Livre XI 1963-1964, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, p. 163. [28] J. Lacan, SĂ©minaire XX, op. cit., p. 200. [29] J. Lacan, Ăcrits, Paris, Le Seuil, p. 819. [30] Lâunivers câest lĂ oĂč de dire tout rĂ©ussit Ă faire rater le rapport sexuel de la façon mĂąle » p. 105. [31] Ce mĂ©talangage qui nâest pas et que je fais exister » p. 201 ; il me faut pourtant dire ce quâil y a de mĂ©talangage, et en quoi il se confond avec la trace laissĂ©e par le langage » p. 203. [32] Rien ne tiendra de tout ça si je ne le soutiens pas dâun dire qui est celui de la langue, et dâune pratique qui est celle des gens qui donnent des ordres au nom dâun certain savoir » p. 204. Câest la phrase qui introduit prĂ©cisĂ©ment la topologie des nĆuds il faut faire tenir les choses par lâexercice.
Etça tâfait marrer les oiseaux qui sâenvolent. Les oiseaux qui sâenvolent. Les oiseaux qui sâenvolent . Tu comptes les chances quâil te reste. Un peu de son parfum sur ta veste. Tu avais dĂ» confondre les lumiĂšres. Dâune Ă©toile et dâun rĂ©verbĂšre . Mais ça continue encore et encore. Câest que le dĂ©but, dâaccord, dâaccord
Lâimportant est de ne jamais cesser de sâinterroger. La curiositĂ© a sa propre raison dâexister. On ne peut pas sâempĂȘcher dâĂȘtre en admiration quand on contemple les mystĂšres de lâĂ©ternitĂ©, de la vie, de la merveilleuse structure de la rĂ©alitĂ©. Il suffit simplement dâessayer de comprendre un peu ce mystĂšre chaque jour. Ne perdez jamais votre sainte curiositĂ©. », Albert
Aucunhomme ne lui en a donnée une et ça continue de me choquer. Comment l'avez-vous imaginée? C'est assez facile à imaginer car aprÚs Bécassine il y a eu Tintin et les dessins des deux
Le silence est de mise depuis la sortie de ValĂ©rie Trierweiler de l'hĂŽpital samedi part un simple tweet, la PremiĂšre dame reste silencieuse sur son RTL affirme ce matin, que ValĂ©rie Trierweiler, qui se repose en ce moment Ă la Lanterne pourrait bien accompagner François Hollande aux radio affirme"Selon l'entourage de la premiĂšre dame, le couple prĂ©sidentiel n'a pas encore pris de dĂ©cision sur l'avenir de leur François Hollande l'a promis il doit clarifier la situation d'ici le 11 fĂ©vrier prochain et son dĂ©placement aux l'heure actuelle, le chef de l'Ătat ne sait pas encore s'il s'y rendra ses proches, ValĂ©rie Trierweiler est, de son cĂŽtĂ©, encore disposĂ©e Ă accompagner le prĂ©sident aux Etats-Unis."
Paroles D'abord vos corps qui se séparent T'es seule dans la lumiÚre des phares T'entends à chaque fois que tu respires Comme un bout de tissu qui se déchire Et ça continue encore et encore C'est que le début d'accord, d'accord L'instant d'aprÚs le vent se déchaßne Les heures s'allongent comme des semaines Tu te retrouves seule assise par terre
Elle ouvre les yeux, regarde Ă terrePeureuse, elle regarde Ă terreElle lui promet que c'Ă©tait la derniĂšreEt elle ramasse ses affairesPour une envie si humaine d'avoir voulu ĂȘtre libre Et c'Ă©tait pas la premiĂšre, la premiĂšre criseSi sur eux tu ne lĂšves jamais la main, tu seras un trĂšs bon pĂšreEt mieux en sera demain, ehDe mieux en mieuxĂvidemment que ce sera de mieux en mieuxUn jour, ce s'ra joyeuxMais en attendant elle doit subir le feu[Refrain]Encore une tempĂȘte, encore une alerteL'orage la guette et s'abat sur elleEncore une tempĂȘte, encore une alerteSa rage la guetteLes bleus, c'est rien, c'est juste une belle couleurPlus douce que celle de ses yeuxQuand il se met en colĂšre, ça continue de durerAlors qu'elle lui dit "On ne s'aime plus comme avant"Il continue dans son dĂ©ni, il dit qu'ils vont de l'avantJ'ai Ă©tĂ© folle de t'aimer si fort, folle d'aimer fort un fouLa peur la guette quand il crie trop fort, quand il se jette Ă son couDe mieux en mieuxQuand elle n'aura plus Ă courir derriĂšre euxUn jour, ce s'ra joyeuxMais en attendant, personne ne voit son jeu[Refrain]Encore une tempĂȘte, encore une alerteL'orage la guette et s'abat sur elleEncore une tempĂȘte, encore une alerteSa rage la guetteEncore une tempĂȘte, encore une alerteL'orage la guette et s'abat sur elleEncore une tempĂȘte, encore une alerteSa rage la guetteLa derniĂšre fois, c'est plusieurs foisLa derniĂšre fois, ça fait plusieurs foisLa derniĂšre fois, c'est plusieurs foisLa derniĂšre fois, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ahOh, oh, oh, ohOh, oh, oh, oh[Refrain]Encore une tempĂȘte, encore une alerteL'orage la guette et s'abat sur elleEncore une tempĂȘte, encore une alerteSa rage la guetteElle est invisible, il reste impuniMais ça, c'est bientĂŽt finiPrĂȘte Ă partir pour mettre fin Ă la guerreEt lui restera les bras fiersPour une envie si humaine d'avoir voulu ĂȘtre libreToujours Ă elles qu'ils s'en prennentLe danger demeure et les briseEspĂ©rant qu'il n'y aura pas de prochainesC'est toujours ça d'espĂ©rerQu'on n'ait pas Ă chanter de requiem
Thereis no strumming pattern for this song yet. Create and get +5 IQ. Music: Clara Luciani - Ambroise Willaume Lyrics: Clara Luciani Album: Coeur (2021) For Intro, Verse and Instrumental parts, you can add the B in bass to the chords. You can also play with capo 2, transpose -2 [Intro] Bm Bm Ah-ah, ah-ah G Em Ah-ah, ah-ah Bm Bm Ah-ah, ah-ah G
[Paroles de "La vie d'aprĂšs"][Couplet 1 Oli]J'Ă©crirai toujours l'amour, tant pis si j'passe pour un utopistePour l'artiste imbĂ©cile heureuxPetit, j'voulais ĂȘtre guerrierJ'ai grandi, j'ai compris que ceux qui veulent la paix sont plus courageuxC'est facile de mettre le feu Ă une forĂȘt, tellement plus facile que de la planterY a mille façons d'avoir raisonLa premiĂšre c'est d'avouer qu'on s'est trompĂ©Promis, promis, j'suis encore avec vousMĂȘme si tu m'vois dans le carrĂ© VIP au fond de la boĂźteJ'ai encore en tĂȘte vos voix quand je dis "nous", j'ai encore le blues le dimanche devant mes pĂątesC'est faux quand j'dis qu'tout le monde peut rĂ©ussir'Fin c'est vrai, mais c'est faux, comme dire que le cancer se soigneMais moi, je retiens l'meilleur et j'emmerde le pireOuais, y en a plein qui perdent, mais y en a plein qui gagnentC'est ça qu'j'voulais dire aussiRĂ©ussir, c'est quoi ?Remplir des salles et pas voir grandir sa filleJ'ai plein d'potes qui rĂȘvent pas de l'OlympiaMais d'un joli chez soi et d'un repas en familleĂa m'fait plus vraiment rĂȘver d'ĂȘtre le plus coolLes plus stylĂ©s d'mon lycĂ©e se sont fondus dans la fouleĂa m'fait plus vraiment peur d'avoir tortY a des mĂ©dailles pour tout le monde, on est plein Ă ĂȘtre les plus fortsJ'ai l'Ăąge oĂč on Ă©crit Ă son pote aprĂšs une engueuladeOĂč plein d'endroits d'la ville sont des souvenirs quand j'm'y baladeLes flammes de ma jeunesse, je me rĂ©chauffe avec ces braisesJ'ai l'Ăąge oĂč on peut recroiser une ex sans ĂȘtre mal Ă l'aiseTrop facile d'abandonner, c'est pas une course mais une randonnĂ©eLes erreurs qu'on digĂšre deviennent des conseils Ă donnerJ'ai confiance Ă la vie, je pleure Ă bras ouvertsEn fait, j'ai d'la peine pour ceux qui n'ont pas souffertAllez viens, on continue d'croire qu'on peut faire mieuxĂtre humain sans ĂȘtre humain, ça devient dangereuxLes tricheurs, c'est toujours pas nousOn va vivre si fort qu'on va rendre tous les morts jalouxT'as reconnu la voix, tellement gentil qu'on m'comprend pasPendant la pause, je rappais dans la cave pour jamais oublier qu'on vient d'en basJ'ai un mental monumental, j'viens d'Toulouse pas d'AtlantaEt quand ma vie est bancale mes punchlines deviennent des mantrasMa vie un fantasme parce que j'ai su garder mon sang froidDeviens le patron si on te rĂ©pĂšte que tu n'as pas la gueule de l'emploiJ'envoie le feu, la foi, que j'vous ai prouvĂ© tant d'foisSans quoi tu ne pourras jamais combattre tes angoisses, rappel de constat de ce combatPour mes semblables, ceux qui voient mes contrastesCeux qui boivent mes larmes, qui m'accompagnent sans demander pourquoiEt pour tous les gens comme toiEt pour tous les gens comme moiĂtre vieux, c'est le privilĂšge de voir les autres grandirĂtre seul, c'est la chance de pouvoir accueillirĂtre mal, c'est comprendre qu'on peut aller mieuxĂtre diffĂ©rent, c'est un peu des trois Ă la foisDiffĂ©rent avec Flo, j'ai eu du mal Ă l'encaisserOn s'est insultĂ©s, presque dĂ©testĂ©sTrop d'fiertĂ© pour revenir sur nos fautesMais nos deux visions d'la vie ont fait qu'on a changĂ© la nĂŽtreTu l'entends ? Ma rage, le son de mes tripesComment j'ai pu douter ? Bien sĂ»r que j'le mĂ©rite !Bien sĂ»r y a des avis, des piques et des critiquesMais j'peux plus l'entendre, c'est recouvert par le bruit de mon publicLes chanteurs que j'Ă©coute me disent Ă quel point ils sont tristesJ'ai l'impression d'ĂȘtre trop heureux pour ĂȘtre un vrai artisteDans l'scĂ©nario d'la vie, je meurs Ă quelle saison ?Est-ce qu'il y a un fond vert tout au bout de l'horizon ?J'veux encore du trĂŽne, tourbillon d'euphorieEncore ĂȘtre la bande son de vos viesEncore renaĂźtre dans la puissance de vos crisEncore des rires, encore des grandes mĂ©lodiesEncore du stress, parce qu'il m'pousse Ă tout donnerEncore du temps parce qu'il m'sert Ă pardonnerEncore me brĂ»ler dans la chaleur de vos corpsEncore tous vous entendre en demander encore[Couplet 2 Bigflo]Dis Ă ton pote qui aime pas Bigflo et Oli que c'est pas graveQu'en vrai, il vaut mieux mĂȘme pas qu'il Ă©couteJ'en ai marre d'me battre maintenant chacun sa routeJ'arrĂȘte de vouloir plaire Ă tout le monde coĂ»te que coĂ»teEt je veux plus les faire taire, je vais le faire c'est toutJ'enterre mes doutes, visionnaires on s'sert les coudesOn va l'faire entre nous en catiminiĂ 40 mille dans la plus grande salle de ParisEt j'veux plus prouverBientĂŽt 30 ans, j'crois que j'me suis trouvĂ©J'aurais pu me noyer dans un cauchemar, partir autre part, j'attrape Oli comme une bouĂ©eEn fait, j'suis comme une ambulance qui crĂ©e un accidentJ'suis Ă la fois le problĂšme et la solutionJ'croyais trouver toutes les rĂ©ponses en grandissantĂvidemment, j'ai trouvĂ© encore plus de questionsQuatriĂšme album, encore plus de pressionĂa y est, j'ai retrouvĂ© le feu et la passionAvant j'voyais tout ça comme une sorte de missionMais p't-ĂȘtre qu'au fond, le rap c'est qu'une mauvaise addictionEt j'avoue que tout ça m'a un peu usĂ©J'pensais pas que c'serait si dur, tu saisToujours attendu, tout l'temps jugĂ©Finalement les problĂšmes s'arrĂȘtent pas avec le succĂšsMais j'veux plus me plaindre de ma vie d'artiste, de jouer l'enfant pourri gĂątĂ©De chanter mes regrets de la vie d'avant, en profitant de ma vie d'aprĂšsEt j'crois plus aux gentils contre les mĂ©chantsJ'ai changĂ© d'avis sur pleins de choses rĂ©cemmentJ'crois plus qu'il y ait des forts ou des faiblesJ'crois qu'on a tous les mĂȘmes problĂšmes mais qu'on les vit diffĂ©remmentEh ouais, c'est moi l'clichĂ© du rappeur conscientJ'balance des vĂ©ritĂ©s en fronçant les sourcilsMais j'm'en fous d'ĂȘtre clichĂ©Si c'est pour aider tous ceux qui m'Ă©coutent Ă supporter leurs soucisEh ouais, c'est moi l'clichĂ© du rappeur conscientChaque mot est choisi avec prudenceParce que si avant j'rappais la Jeunesse influençable »Aujourd'hui, c'est en partie moi qui l'influenceEt j'vois les p'tites sĆurs et le message qu'elles nous adressentMais comme un connard j'fais que pointer leur maladresseP't-ĂȘtre parce que j'ai peur de voir la vĂ©ritĂ© en faceOu que mon Ă©go masculin voit ça comme une menaceC'est pas non plus facile pour les p'tits frĂšresDepuis tout petit on leur rĂ©pĂšte qu'il faut ĂȘtre les plus fortsLes plus forts au foot, les plus forts au lit, la plus grosse encoreLes plus forts des plus forts des plus fortsJ'voulais dire que j'suis sincĂšrement dĂ©solĂ©J'crois que j'serai pas le sauveur que vous attendiezIls voudraient que j'sois un exemple pour ma gĂ©nĂ©rationMais j'veux plus qu'on me prenne pour un donneur de leçonJ'peux pas faire grand-chose Ă part des chansonsT'accompagner pendant tes crises d'angoisseChante avec moi qu'le monde il est dĂ©gueulasseEn vrai y a que ça Ă faire, en attendant que ça passe OuiAlors oui, c'est du rap de fragile, pour les gens tristesDu rap pour ceux qui pleurent, pour les trop sensibles, pour les gros cĆursOn prend nos Ă©motions pour alimenter l'moteurEt moi aussi j'ai flirtĂ© avec les profondeurs abyssalesPutain, j'ai la boule au ventre quand j'Ă©cris çaAprĂšs notre passage, qu'est-ce qu'il restera ?J'suis pĂ©trifiĂ© Ă l'idĂ©e que tout s'arrĂȘte lĂ Mais ça peut pas s'arrĂȘter lĂ J'ai envie de tout comme si j'venais de sortir du comaEt je vais vivre Ă fond Vivre Ă fond, tellement qu'en partantJ'deviendrai une supernovaJ'veux encore l'Ă©cume de la mer sous mes pieds nusEt questionner l'univers sous la pleine luneJ'apprends, j'essaie, j'exploreJ'veux encore de l'amour qui fait peur tellement il est fortJ'ai parcouru les vallĂ©es du mal-ĂȘtre Ă m'en rendre maladeAvaler des mĂ©dicaments pour ramener le calme comme un toxicomaneEt j'crois que j'Ă©tais en panne mais les Ăąmes ne se rĂ©parent pas comme un programmeY a que le temps qui soigneC'est l'histoire de deux frĂšres, c'est le retourL'amour gagne toujours, on continue cette lutteDe toute façon, dis-moi franchementQui Ă©coute encore des morceaux de rap sans refrain de 7 minutes ?[Outro Ami de Bigflo et Oli]Ăcoutez-moi les frĂ©rotsVous avez intĂ©rĂȘt Ă nous pondre un gros albumDe tout niquer lĂ et c'est le cĆur qui parleY a pas de, y a pas, il faut pas hĂ©siter lĂ Au bout d'un moment faut pas hĂ©siterPondez-moi un gros truc, pondez-nous un gros truc
magnifiquemise a jour, et que dire de la photo reviens nous vite ! Par Matthieu, le 20.04.2008 petite mon blog Par rimesoudeprime, le 04.04.2008 beaucoup de chaleur humaine, notre captain résume bien la situation, on pense trÚs fort a toi ! superbe photo Par Jeff, le 27.03.2008. Voir plus
Rugby6 Nations CompĂ©titionsVidĂ©osAidePlusS'abonnerTous les sportsAccueilLa Grande MĂȘlĂ©eTop 14Pro D26 NationsCoupe du Monde FĂ©minineFrance 2023Champions CupTransfertsChallenge CupSevens PremiershipUnited Rugby ChampionshipCoronavirusAutumn Nations CupSuper Rugby InternationalMondial -20 ansRugby Championship Test MatchBarbariansRugby Ă XIIIFĂ©mininesOscars Midol NationaleFĂ©dĂ©rale 1FĂ©dĂ©rale 2FĂ©dĂ©rale 3A proposApplication IPhoneApplication AndroidConditions GĂ©nĂ©rales dâUtilisation Politique de confidentialitĂ© Politique de cookiesGĂ©rer les prĂ©fĂ©rences ActualitĂ©sCalendrier/RĂ©sultatsClassementsMeilleurs scoreurs6 Nations U206 Nations FĂ©minin TOURNOI DES 6 NATIONS 2019 - Avec plusieurs joueurs dont Guilhem Guirado, Mathieu Bastareaud, Romain Ntamack, GaĂ«l Fickou, Jefferson Poirot ou bien encore FĂ©lix Lambey, Louis Picamoles fait partie du conseil des joueurs du XV de France 32 ans, 74 sĂ©lections. Pour le numĂ©ro 8 de Montpellier, le plus important est dĂ©sormais de trouver un second souffle. Rugbyrama. Il y a plusieurs changements dans lâorganisation du XV de France, aussi bien vis-Ă -vis des mĂ©dias quâen interne. Quâest-ce qui a motivĂ© ces dĂ©cisions ? Louis Picamoles On a Ă©changĂ© entre nous et lâintention premiĂšre Ă©tait de concentrer sur la partie sportive. Câest ce qui nous anime depuis quâon est revenu vendredi dernier. Il y a dĂ©sormais des Ă©changes qui nous permettent dâavancer, de basculer vers autres choses. Ce nâest pas Ă©vident dâĂ©changer quand on est 31 joueurs. LĂ , on peut faire des retours, chacun avec sa personnalitĂ©, sur ce qui nous apporte le plus sur le terrain. Vous ne pensez pas que le nouveau protocole avec les mĂ©dias un passage unique devant tous les mĂ©dias dĂ©sormais rĂ©unis dans une mĂȘme salle de presse, ndlr risque de lisser les caractĂšres, les discours de certains joueurs ? Jâai une nature Ă dire ce que je pense. Ce nouveau protocole ne mâempĂȘchera pas de le faire. Il y a des choses qui sont bonnes Ă dire, dâautres qui doivent ĂȘtre gardĂ©es. Le tout, câest de nous concentrer sur ce quâon doit faire sur le terrain et le plaisir quâon doit prendre. Il y a dĂ©jĂ du boulot lĂ -dessus. " On est conscients de nos carences, du travail Ă fournir pour atteindre nos objectifs. Il est long, il va ĂȘtre dur " Comment faire pour redevenir une Ă©quipe conquĂ©rante et ambitieuse aprĂšs toutes ces dĂ©faites ? On se relĂšve et on avance. Il ne faut ĂȘtre animĂ© que par ça. On a conscience de ne pas avoir toujours montrĂ© un beau visage de cette Ă©quipe de France mais lâĂ©tat dâesprit et lâengagement de tous est de retrouver et de procurer du plaisir. On est dĂ©jĂ tombĂ© par le passĂ©. On va se relever encore et encore. On va continuer Ă avancer. On va peut-ĂȘtre retomber, je ne peux pas prĂ©voir ça. Mais on continuerait Ă se relever. Tant quâon sera lĂ , on continuera comme ça avec humilitĂ©, appĂ©tit et ambitions. On est conscient de nos carences, du travail Ă fournir pour atteindre nos objectifs. Il est long, il va ĂȘtre dur mais on a tous envie de le mener Ă bien ensemble. 6 Nations 2019 - Louis Picamoles France et Jonny May AngleterreIcon Sport Quel sens accordez-vous Ă la prise de parole de Morgan Parra et Camille Lopez aprĂšs la dĂ©faite en Angleterre ? Connaissant Morgan et Camille, la pĂ©riode actuelle est facile extrapoler les propos des uns et des autres. Chacun peut y prĂȘter une interprĂ©tation diffĂ©rente. Nous, on sait trĂšs bien ce quâont voulu dire Morgan et Camille. Le staff en est Ă©galement conscient. Les choses qui ont Ă©tĂ© dites autour de cette prise de parole nâont pas forcĂ©ment Ă©tĂ© bien interprĂ©tĂ©es et ont surtout Ă alimenter la polĂ©mique. Mais on a conscience quâon va ĂȘtre sujet à ça. " On sait trĂšs bien ce quâont voulu dire Morgan et Camille. Le staff en est Ă©galement conscient " Y-a-t-il eu un recadrage du prĂ©sident ? On va vu le prĂ©sident aprĂšs, parler dâun recadrage. Câest vous qui le dites. Jâappelle ça une discussion entre un groupe, son staff et ses dirigeants pour avancer vers un objectif commun. On a plus envie de construire sur du positif pour se donner un second souffle que de ressasser le nĂ©gatif qui avait tendance Ă nous tirer vers le bas et Ă nous enterrer.
. 1ej04x5wnr.pages.dev/1111ej04x5wnr.pages.dev/3441ej04x5wnr.pages.dev/4621ej04x5wnr.pages.dev/1991ej04x5wnr.pages.dev/4801ej04x5wnr.pages.dev/3411ej04x5wnr.pages.dev/3521ej04x5wnr.pages.dev/249
et ça continue encore et encore parole