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Thriller Réalisé par Saeed Roustayi Thriller 2 h 10 min 2019 Synopsis - La loi de Téhéran En Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l'on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n'ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé Prochaines diffusions - La loi de Téhéran Aucune diffusion de prévue. Casting - La loi de Téhéran Payman Maadi Samad Majidi Navid Mohammadzadeh Naser Khakzad Autres films - Thriller Offre Canal+ Le Parisien VOD Cinéma
LAFIEVRE DE PETROV Kyrill Serebrennikov. Dans La fièvre de Petrov, tout est un cran au dessus : la longueur du film (2H26), la durée des plans (certains frisent les 20 minutes), la nature des situations, entre hallucinations et folie collective.Le voyage débute en hiver, dans un bus. Petrov somnole, toussote. Il a la grippe. Petrov a de la fièvre.
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LALOI DE TÉHÉRAN de Saeed Roustayi GENRE : Drame France · 2021 · 2h11 · VOstfr Avec : Payman Maadi, Navid Mohammadzadeh, Parinaz Izadyar En Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l’on ait 30 g ou 50 kg sur soi : la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n’ont aucun scrupule à jouer gros et la
Aim the whale, catch the fish Synopsis En Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l’on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n’ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé. Bilan 6,5 millions de personnes ont plongé. Au terme d'une traque de plusieurs années, Samad, flic obstiné aux méthodes expéditives, met enfin la main sur le parrain de la drogue Nasser K. Alors qu’il pensait l'affaire classée, la confrontation avec le cerveau du réseau va prendre une toute autre tournure... MON AVIS Après avoir réalisé en 2016 Life and a day, Saeed Roustaee quitte la sphère familiale iranienne pour s’intéresser à un pan de la société à travers le trafic de crack. L’œuvre ouvre directement sur une opération de terrain. Nous découvrons les protagonistes à travers leurs actions. Le fiasco qui s’ensuit et les informations glaner nous permettent de comprendre à quel stade nous arrivons dans l’enquête visant à démanteler ce business prenons donc un train lancé à pleine vitesse. Pour autant, nous ne sommes aucunement gênés par le manque de contextualisation. Les interactions entre les individus et l’avancée de la traque nous permettent rapidement de prendre nos fois les différents éléments assimilés, l’auteur change la trajectoire scénaristique pour s’engouffrer dans le cœur du effet, plus qu’un affrontement entre l’axe du Bien et du Mal, l’œuvre décortique le système pénal iranien. Nous entrons dans l’antre d’une bête étatique appliquant implacablement sa sentence au moindre écart de fait que la détention d’une faible quantité de drogue soit passible de mort impacte fortement la dynamique des personnages et leurs motivations. Bien que nous suivons deux protagonistes spécifiques, le réalisateur inclut dans cette confrontation la trajectoire de différentes personnes tentant de s’extirper de cette spirale infernale. Ces individus permettent de densifier le récit et d’offrir un aperçu plus complet de l’engrenage mis en de ces histoires annexes sont bouleversantes tandis que d’autres flirtent avec l’absurde. Cette diversité de tonalité renforce la volonté de se rapprocher au maximum de la réalité. Il permet de nuancer le propos en montrant différentes mise en structure narrative apporte aussi une dynamique. La multiplication des points de vue permet de faire des ellipses dans l’avancement de l’enquête sans pour autant perdre en cohérence. Au sein du fil rouge, nous pouvons d’ailleurs observer un découpage par chapitre. Dans un premier temps nous avons la traque aux côtés de Samad puis ensuite une confrontation entre ce dernier et Nasser pour finalement se focaliser sur ce présumé baron de la transition entre chacune de ces étapes est fluide. Il n’y a pas d’explicitation de ce mécanisme narratif. L’évolution n’en est que plus influe fortement sur notre empathie. L’auteur joue sur notre code moral pour lentement le remettre en question à travers les actions de ses agissant ainsi, le réalisateur prend à contre-pied les attentes du spectateur. Son apparent thriller urbain cache un drame social terrible. L’action musclée est ainsi remplacée par des confrontations verbales se jouant des rouages administratifs. Nous découvrons comment peut être instrumentalisé la Loi pour arriver à ses moments sont tout autant intenses au vu des enjeux. Survivre à la procédure judiciaire est tout aussi ardu que lors d’une fusillade et le dénouement reste identique mourir ou en ressortir libre. Au final, La loi de Téhéran est une excellente surprise tant il nous amène dans un terrain peu exploité et captivant. Derrière sa façade de polar urbain âpre se cache une analyse sociale déchirante et nous tarde découvre les prochains projets de Saeed Roustaee. À travers son objectif vit et péri l’Iran, difficile d’y rester insensible.
JafarPanahi soulève le voile sur les injus-tices de la société iranienne, dans un Sang et or aussi bou-leversant que som-bre, filmé comme un cri d'artiste citoyen, d'un courage impressionnant.
Dans la version internationale de son titre, LA LOI DE TÉHÉRAN se nomme JUST comme les millions d’iraniens officiellement recensés comme accros au crack. Un chiffre qui a explosé ces dernières années, et un phénomène délétère peu connu dans le reste du monde. La première vertu du film de Saeed Roustayi est de montrer de façon très crue les conséquences de cette addiction de masse, et ce avec un regard quasiment documentaire. Dès les premières minutes, le ton est donné via une descente de police surréaliste dans un bidonville improvisé avec des cylindres en béton, et peuplé de dizaines, voire de centaines, de personnes droguées au crack. Celui qui mène cette descente s’appelle Samad Payman Maadi, et c’est un flic têtu qui ne s’embarrasse pas de scrupules pour remplir son objectif faire tomber un baron de la drogue nommé Nasser Navid Mohammadzadeh. Afin d’y parvenir, il doit remonter tous les étages de la filière d’écoulement de la drogue, des consommateurs aux petits dealers en passant par les intermédiaires et leurs mules. Cette enquête musclée occupe la première partie du film, avant une plongée irrespirable dans les cellules surpeuplées des prisons iraniennes, où s’entassent toutes les personnes liées de près où de loin au business du crack à Téhéran. Car en Iran, on ne blague pas du tout avec la drogue la possession de quelques grammes de crack suffit pour risquer la peine de mort, et cette dernière est appliquée massivement. Toute l’intelligence de LA LOI DE TÉHÉRAN consiste à s’intéresser aux ressorts sociaux de cette addiction au crack le réalisateur Saeed Roustayi vient du documentaire, il a réalisé des recherches très importantes sur son sujet avant de tourner son film, et cela se voit. Son thriller est en réalité un polar social explorant la corruption qui gangrène tous les acteurs de la lutte anti-drogue, et qui met en évidence de façon spectaculaire l’inadéquation entre une méthode de lutte répressive aux moyens limités et un phénomène de masse incontrôlable. Roustayi brille aussi par l’écriture de son personnage de parrain de la drogue, nettement plus complexe qu’il ne le serait dans la plupart des films du genre, et surtout par la virtuosité avec laquelle il rappelle l’horreur de la peine de réalité est filmée avec un talent indéniable, tout comme la scène finale, l’un des nombreux tableaux dantesques du film où l’on compte des dizaines de figurants – parfois réellement drogués –, et qu’il sera difficile d’oublier. Après un premier long-métrage réussi sur le thème de la famille, LIFE AND A DAY 2016, Saeed Roustayi prouve cette fois par son sens de la mise en scène qu’il a sa place à la table des jeunes réalisateurs qui comptent. Un statut confirmé par le maître William Friedkin lui-même, qui a déclaré que LA LOI DE TÉHÉRAN est un des meilleurs thrillers jamais vus. Un adoubement d’autant plus symbolique que le FRENCH CONNECTION 1971 de Friedkin est une des influences les plus évidentes du long-métrage de Roustayi. À l’évidence, le réalisateur américain n’est pas le seul à avoir été enthousiasmé, puisqu’après avoir été acclamé à la Mostra de Venise en 2019, LA LOI DE TÉHÉRAN a été primé au Festival international du film de Tokyo, puis à celui du film policier, avant d’être nommé cette année pour le César du meilleur film étranger, catégorie remportée par THE FATHER Florian Zeller, 2020. Et le réalisateur iranien n’a pas fini de faire parler de lui, puisque son prochain long-métrage LEILA'S BROTHERS, 2022 sera en compétition au Festival de Cannes 2022. On y retrouvera d’ailleurs comme dans LIFE AND A DAY et LA LOI DE TÉHÉRAN, Payman Maadi et Navid Mohammadzadeh, deux acteurs d’une intensité dramatique Toutes les vidéos cinéma, films et émissions sont disponibles sur myCANAL Suivez Cinéma Canal+ sur Facebook Twitter Instagram
Téhéranstreaming vf, Téhéran vostfr 2022 Tamar, hackeuse du Mossad infiltrée à Téhéran sous une fausse identité, a pour mission de neutraliser un réacteur nucléaire. Mise en échec et bloquée en Iran, elle va monter une opération qui pourrait mettre ses proches en danger., regarder Téhéran gratuit
Vous aimez ce film, notez le !La note moyenne actuelle est de 15,00 pour 1 votes En Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l’on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n’ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé. Bilan 6,5 mill
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Regarder maintenant NoteGenresDrame , Action & Aventure , Crime & Thriller , Mystère & Thriller Réalisateur Casting RésuméEn Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l’on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n’ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé. Bilan 6,5 millions de personnes ont plongé. Au terme d'une traque de plusieurs années, Samad, flic obstiné aux méthodes expéditives, met enfin la main sur le parrain de la drogue Nasser K. Alors qu’il pensait l'affaire classée, la confrontation avec le cerveau du réseau va prendre une toute autre tournure...Où regarder La Loi de Téhéran en streaming complet et légal ?Il est possible de louer "La Loi de Téhéran" sur Orange VOD, Filmo TV, Google Play Movies, YouTube, Rakuten TV, Amazon Video, Apple iTunes, Universcine en ligne et de télécharger sur Orange VOD, Apple iTunes, Google Play Movies, YouTube, Filmo TV, Universcine, Amazon Video, Rakuten TV. Ca pourrait aussi vous intéresser Prochains films populaires Prochains films de Drame
Aprèsle succès critique et public de son polar La Loi de Téhéran, consacré aux ravages de la drogue dans son pays, le cinéaste iranien Saeed Roustaee change de registre.
Critiques Cinéma SYNOPSIS En Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l’on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n’ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé. Bilan 6,5 millions de personnes ont plongé. Au terme d’une traque de plusieurs années, Samad, flic obstiné aux méthodes expéditives, met enfin la main sur le parrain de la drogue Nasser K. Alors qu’il pensait l’affaire classée, la confrontation avec le cerveau du réseau va prendre une toute autre tournure… L’Iran compte près de 85 millions d’habitants. Parmi tous ces hommes et ces femmes, 6,5 millions sont des consommateurs récurrents de crack. Ces 6,5 donnent au film que nous allons évoquer son titre international Just pointant du doigt la violence extrême du trafic de drogue au sein du pays ainsi que les méthodes radicales mises en place pour lutter contre. En Iran, les trafiquants, détenteurs, passeurs et autres intermédiaires sont condamnés à mort. C’est cette loi de Téhéran que le réalisateur Saeed Roustayi va scanner de l’intérieur dans son deuxième long-métrage qui fait d’ores et déjà bien parler de lui. William Friedkin l’a déjà qualifié de » l’un des meilleurs thrillers » qu’il ait » jamais vus » et s’apprête à éclater nos salles françaises du choc qui se dégage de ce polar aux aspérités âpres et radicales. La Loi de Téhéran nous dresse le portrait de deux hommes. L’un est un flic aux méthodes bourrines traquant les têtes pensantes d’un des plus grands réseaux de drogue de la ville. L’autre est l’homme qu’il traque sans relâche depuis des années. Leur confrontation va alors compliquer l’opération de police. Saeed Roustayi met en place dans son thriller un mécanisme terrifiant en brisant instantanément toute forme de manichéisme, se permettant de raconter son histoire du point de vue le plus distant et par conséquent le plus froid possible. A l’opposé complet d’une démarche américaine, le film dépeint un parallèle complexe et existentiel entre deux hommes que tout oppose qui se découvrent au fur et à mesure de l’avancement de l’opération comme les deux faces d’une même pièce. Par sa mise en scène glaçante mettant à l’honneur au cadre la froideur et la misère d’une ville gangrenée par sa consommation de drogue venant impacter absolument tous ses habitants – toutes classes sociales confondues – La Loi de Téhéran plonge ses mains dans les entrailles d’un système aussi noir que blanc, rejetant systématiquement tout questionnement moral au profit d’une efficacité qui reste toujours à prouver. Les policiers sont alors aussi bourrus et expéditifs que leurs pendants criminels, construisant un miroir qui prend alors doucement la forme d’une spirale descendante. Alors en pleine chute libre, nos personnages tentent de se débattre face à un fatum terrifiant auquel ils ne peuvent par définition pas échapper. La Loi de Téhéran est construit comme une tragédie, quitte à souvent laisser de côté l’émotion au profit de joutes verbales spectaculaires. Par sa structure étalée sur plus de deux heures enchaînant les scènes de dialogues et les interventions musclées, le film trouve à de nombreux instants des longueurs significatives, préférant délivrer l’expérience la plus brute possible quitte à parfois ennuyer. Car si son réalisme est la facette qui impressionne le plus dans le long-métrage, c’est parce qu’il n’est jamais monochrome contrairement à sa terne et anxiogène photographie qui habille le film d’un voile noir et orange, proposant à son spectateur un voyage épatant de justesse autant que déstabilisant par sa nature. Tout ne fonctionne alors pas dans cette valse impitoyable entre deux hommes qui se battent littéralement pour leurs vies et pour leurs libertés respectives, donnant à La Loi de Téhéran cet aspect profondément dense qui frappe par sa forme plus proche de l’expérience inédite que du thriller à la forme classique fonctionnant par toute une série de codes fixés par les plus grands réalisateurs des dernières décennies. On saluera donc évidemment l’audace d’une création aussi singulière, bien qu’il en perde tout du long l’attachement émotionnel du spectateur à part peut-être les 20 dernières minutes ainsi que son investissement sur le long terme. Peut-être la structure du film lui en demande-t-il un peu trop ? Par cette confrontation entre les deux figures Payman Maadi et Navid Mohammadzadeh impeccables de composition et d’incarnation, La Loi de Téhéran saisit par sa noirceur et sa fatalité autant qu’il déconcerte par sa narration brisée. Oscillant entre grandes envolées de dialogues, séquences d’interpellations nerveuses et moralement questionnables et instants en sous-régime, le second long-métrage de Saeed Roustayi perturbe et propulse son spectateur bien loin de sa zone de confort en le plongeant dans un Iran miséreux et détruit par ses trafics et par sa politique. Un coup de pied à ses instructions autant qu’un propos moral et politique sur la place de l’Homme dans toute cette anarchie incontrôlable dans laquelle nos personnages se retrouvent bloqués, La Loi de Téhéran est un polar d’une grande force quand il sait s’exprimer et quand il trouve la façon de raconter cette lutte qui détruit Téhéran et ses habitants de l’intérieur. Titre Original METRI SHESH VA NIM Réalisé par Saeed Roustayi Casting Payman Maadi, Navid Mohammadzadeh, Houman Kiai… Genre Action, Drame, Policier Sortie le 28 juillet 2021 Distribué par Wild Bunch Distribution TRÈS BIEN
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Voirla version abrégée. Le 8 septembre 1978, des manifestants, parmi lesquels beaucoup d'étudiants, se rassemblent sur la place Jaleh, à Téhéran, pour réclamer la démocratie. L'armée ouvre le feu sur la foule, faisant de nombreuses victimes, ce qui entraîne un soulèvement général dans tout l'Iran. Après ce « vendredi noir », le
LA LOI DE TÉHÉRANde Saeed RoustayiGENRE DrameFrance 2021 2h11 VOstfrAvec Payman Maadi, Navid Mohammadzadeh, Parinaz IzadyarEn Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l’on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n’ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé. Bilan 6,5 millions de personnes ont plongé. Au terme d'une traque de plusieurs années, Samad, flic obstiné aux méthodes expéditives, met enfin la main sur le parrain de la drogue Nasser K. Alors qu’il pensait l'affaire classée, la confrontation avec le cerveau du réseau va prendre une toute autre tournure...Accrochez-vous. Depuis Zombie de George A. Romero en 1978 et sa violente satire de la société de consommation, on n’avait pas vu le cinéma de genre s’emparer d’une problématique sociétale avec une aussi belle puissance. Conscient d'habiter un pays qui a plusieurs centaines de kilomètres de frontière commune avec le plus grand producteur de drogue du monde l'Afghanistan », le réalisateur iranien Saeed Roustayi avait d'abord l'ambition de signer un documentaire sur ce fléau du trafic de drogue qui gangrène son pays, avec ses 6,5 millions de toxicomanes, morts-vivants bien plus alarmants que leurs homologues hollywoodiens justement. Mais la force de la réalité iranienne fut telle que, au final, La Loi de Téhéran s'est vu adopter les atours d'un thriller non seulement très documenté, mais réellement haletant de bout en bout. In medias res, la course-poursuite inaugurale saisit et ce n'est que le premier morceau de bravoure d'une longue série terriblement efficace. Déroulant un équilibre pertinent entre scènes intimistes et scènes de foules, La Loi de Téhéran garde une intensité constante qui laisse pantois bien des fois. La mise en scène millimétrée, le vérisme des décors et des figurants certaines séquences ont fait appel à de vrais toxicomanes – on pourra s'en offusquer, les comédiens magnétiques et très impliqués, les nuances inconfortables des situations et des personnages principaux Samad, le policier, et Nasser, le dealer, sont-ils fondamentalement si différents ? tout concours à entremêler à la belle plastique de la réalisation une préoccupation naturaliste qui rend cette œuvre très impressionnante. Remarquable aussi est la carrière de La Loi de Téhéran porté difficilement sur les fonts baptismaux en raison d'une censure finalement impuissante à en museler l'existence, le film de Saeed Roustayi est devenu un des plus gros succès du box-office iranien. À découvrir ! ⎥ Nicolas Milesi
Lestatut de M. Najafi et le parfum de scandale entourant son deuxième mariage, sans qu’il ait divorcé de sa première épouse, comme le permet la loi iranienne, –alors que la polygamie est mal perçue dans la société iranienne– ont contribué à susciter un gros intérêt en Iran pour cette affaire. Son procès a fait l’objet d’une grande couverture dans des médias officiels
Vous aimez ce film, notez le !La note moyenne actuelle est de 15,00 pour 1 votes En Iran, la sanction pour possession de drogue est la même que l’on ait 30 g ou 50 kg sur soi la peine de mort. Dans ces conditions, les narcotrafiquants n’ont aucun scrupule à jouer gros et la vente de crack a explosé. Bilan 6,5 millions de personnes ont plongé. Au terme d'une traque de plusieurs années, Samad, flic obstiné aux méthodes expéditives, met enfin la main sur le parrain de la drogue Nasser K. Alors qu’il pensait l'affaire classée, la confrontation avec le cerveau du réseau va prendre une toute autre tournure... Titre original Metri Shesh Va Nim Just mise à jour le
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