publiĂ©edans le JO SĂ©nat du 14/02/2008 - page 297. L'article 89 de la loi n° 2004-809 du 13 aoĂ»t 2004 a pour objet de prĂ©ciser les modalitĂ©s d'application aux Ă©coles privĂ©es sous contrat d'association des dispositions, appliquĂ©es dans le secteur public, concernant la prise en charge financiĂšre par les communes des Ă©lĂšves non rĂ©sidents. PubliĂ© le 07/12/2011 07 dĂ©cembre dĂ©c. 12 2011 Source Les dĂ©penses de la Commune Ă  destination de l'enseignement public doivent, alors mĂȘme qu'il ne s'agirait pas de dĂ©penses obligatoires de la Commune, ĂȘtre prises en compte pour le calcul de la de la Commune Ă  destination de l'enseignement public et calcul de la participation Le Conseil d'Etat a estimĂ© que les dĂ©penses... Lire la suite Historique Emprunts toxiques les assignations des collectivitĂ©s territoriales pleuvent contre Dexia PubliĂ© le 28/03/2013 28 mars mars 03 2013 CollectivitĂ©s / Finances locales / FiscalitĂ©/ Gestion de fait/ Chambre des Comptes Le 27 mars 2013 Ă©tait créée la Banque Postale CollectivitĂ©s territoriales afi... RĂ©pĂ©tition des indus et pĂ©nalitĂ©s financiĂšres prononcĂ©es par les organismes de sĂ©curitĂ© sociale PubliĂ© le 12/09/2012 12 septembre sept. 09 2012 CollectivitĂ©s / Finances locales / FiscalitĂ©/ Gestion de fait/ Chambre des Comptes Un dĂ©cret du 7 septembre 2012 modifie les procĂ©dures relatives Ă  la rĂ©pĂ©titio... Annulation par le juge d'une subvention et responsabilitĂ© de la collectivitĂ© PubliĂ© le 05/07/2012 05 juillet juil. 07 2012 CollectivitĂ©s / Finances locales / FiscalitĂ©/ Gestion de fait/ Chambre des Comptes L'annulation par le juge d'une subvention peut-elle engager la responsabilitĂ©... Subvention aux activitĂ©s non cultuelles d'une association PubliĂ© le 21/06/2012 21 juin juin 06 2012 CollectivitĂ©s / Finances locales / FiscalitĂ©/ Gestion de fait/ Chambre des Comptes Dans une sĂ©rie d'arrĂȘts du 4 mai 2012, le Conseil d'Etat pose des conditions... Intervention Ă©conomique des collectivitĂ©s locales PubliĂ© le 20/06/2012 20 juin juin 06 2012 CollectivitĂ©s / Finances locales / FiscalitĂ©/ Gestion de fait/ Chambre des Comptes AprĂšs la rĂ©forme opĂ©rĂ©e par la loi n° 2010-1563 du 16 dĂ©cembre 2010, le DĂ©cre... Financement des Ă©coles privĂ©es PubliĂ© le 07/12/2011 07 dĂ©cembre dĂ©c. 12 2011 CollectivitĂ©s / Finances locales / FiscalitĂ©/ Gestion de fait/ Chambre des Comptes Les dĂ©penses de la Commune Ă  destination de l'enseignement public doivent, al... >> Information sur les cookies Nous avons recours Ă  des cookies techniques pour assurer le bon fonctionnement du site, nous utilisons Ă©galement des cookies soumis Ă  votre consentement pour collecter des statistiques de ci-dessous sur ACCEPTER » pour accepter le dĂ©pĂŽt de l'ensemble des cookies ou sur CONFIGURER » pour choisir quels cookies nĂ©cessitant votre consentement seront dĂ©posĂ©s cookies statistiques, avant de continuer votre visite du site. Plus d'informations ACCEPTER CONFIGURER REFUSER
Sile coĂ»t d'un enfant scolarisĂ© dans une Ă©cole Ă©lĂ©mentaire publique est de 800 euros par an, la commune doit verser aux Ă©coles privĂ©es un forfait du mĂȘme montant. L'abaissement de l'Ăąge de l'instruction obligatoire Ă  l'Ăąge de 3 ans va conduire les communes Ă  faire de mĂȘme pour les Ă©coles maternelles.
Fondation iFRAP Vous venez de publier les rĂ©sultats d'une enquĂȘte assez inĂ©dite sur les moyens et le financement des Ă©coles primaires. Quels sont vos constats ? L'argent de l'Ă©cole En quĂȘte d'Ă©galitĂ© Snuipp Notre enquĂȘte rĂ©vĂšle de fortes inĂ©galitĂ©s dans les crĂ©dits scolaires allouĂ©s aux Ă©coles. D'une Ă©cole Ă  l'autre, les Ă©carts sont de un Ă  dix ! C'est ainsi que le montant des commandes passĂ©es par les enseignants pour mettre en Ɠuvre leurs enseignements renouvellement des manuels scolaires, fournitures,
 peuvent varier de 13 euros Ă  130 euros par Ă©lĂšve et par an. Quant aux sorties scolaires, leur financement tourne souvent au casse-tĂȘte pour les Ă©coles. Certaines bĂ©nĂ©ficient d'une mise Ă  disposition gratuite, d'autres de financements supplĂ©mentaires, alors que d'autres encore n'ont rien. En ce qui concerne l'Ă©quipement informatique, lĂ  encore les inĂ©galitĂ©s sont criantes. Le taux d'Ă©quipement qui est en moyenne trĂšs bas en comparaison avec nos voisins europĂ©ens 8 ordinateurs pour 100 Ă©lĂšves est Ă©galement trĂšs variable d'une Ă©cole Ă  l'autre. A l'heure oĂč tous les Ă©lĂšves doivent maĂźtriser leur Brevet informatique B2i Ă  la fin du CM2, cette situation va pĂ©naliser les Ă©lĂšves scolarisĂ©s dans des Ă©coles peu et mal dotĂ©es. Au final, avec cette enquĂȘte, nous tirons la sonnette d'alarme. Nous craignons que ces disparitĂ©s ne deviennent un facteur croissant d'inĂ©galitĂ©s mais aussi un point de rupture dans le principe de gratuitĂ© devant l'Ă©cole. Fondation iFRAP Comment expliquez-vous ces diffĂ©rences ? Snuipp Il n'y a jamais eu Ă©galitĂ© totale entre les Ă©coles et cela tient aux liens historiques entre l'Ă©cole et la commune. Mais aujourd'hui, alors que les besoins se multiplient, ces inĂ©galitĂ©s s'accroissent. On peut lier cette montĂ©e en charge des inĂ©galitĂ©s Ă  la fois aux moyens financiers dont disposent les communes et Ă  leur volontĂ© en matiĂšre Ă©ducative, aux choix qu'elles opĂšrent, la ligne de partage ne se situant pas seulement entre communes riches ou pauvres, ni entre rural et urbain. La loi fixe la responsabilitĂ© des communes pour certaines dĂ©penses comme la construction et l'entretien des Ă©coles, leur Ă©quipement mobilier, chauffage, Ă©clairage et une partie des fournitures pĂ©dagogiques. D'autres obligations restent trĂšs imprĂ©cises, d'autant qu'il a Ă©tĂ© assignĂ© sans cesse de nouvelles missions Ă  l'Ă©cole sans prendre la mesure des investissements nĂ©cessaires ni dĂ©finir les responsabilitĂ©s des uns et des autres. Photocopies, maintenance et Ă©quipement informatique, manuels scolaires, abonnement internet, logiciels Ă©ducatifs, classes dĂ©couverte
 sont autant d'exemples de domaines reposant sur les capacitĂ©s de financement des communes. Certaines ont du mal Ă  assumer. D'autres n'y voient pas une prioritĂ©. Fondation iFRAP Que faudrait-il faire pour corriger les inĂ©galitĂ©s de financement entre Ă©coles pour le fonctionnement, l'investissement ? Snuipp Les communes se retrouvent trop souvent Ă  assumer des coĂ»ts humains et financiers de mesures dĂ©cidĂ©es par l'État. Ainsi par exemple, la lecture intĂ©grale d'ouvrages de classiques de l'enfance et de la littĂ©rature jeunesse dĂšs le CE2, qui va dans un sens positif pour doter les Ă©lĂšves de solides bases culturelles, nĂ©cessite de disposer de multiples exemplaires pour mener un travail sĂ©rieux. De mĂȘme les Ă©coles ont besoin de documents spĂ©cifiques pour enseigner l'histoire des arts rĂ©cemment introduite dans les programmes, d'ordinateurs pour valider le B2i, de bus pour aller Ă  la piscine
 Le ministĂšre ne peut plus faire l'impasse sur ces nouveaux besoins et sur la maniĂšre dont l'Ă©cole doit les prendre en charge. Il est temps de poser publiquement le dĂ©bat, de sortir des systĂšmes permanents de dĂ©brouille ». Parmi nos propositions, nous suggĂ©rons l'Ă©laboration d'une charte d'Ă©quipement minimal pour dĂ©finir un cartable de base indispensable Ă  chaque Ă©lĂšve. Celui-ci serait en partie financĂ© par la crĂ©ation d'un fonds de pĂ©rĂ©quation pour venir en aide aux communes dĂ©shĂ©ritĂ©es. Une mutualisation des moyens par l'intercommunalitĂ© est dĂ©jĂ  parfois opĂ©rationnelle, quelle place prend l'État dans la mise en Ɠuvre de dispositifs garantissant plus d'Ă©galitĂ© dans l'accĂšs aux savoirs ? Fondation iFRAP Les communes ou les Ă©tablissements eux-mĂȘmes devraient-ils avoir la maĂźtrise de leur budget total rĂ©munĂ©ration des personnels enseignants inclus, afin de clarifier le financement des Ă©coles ? Snuipp La maĂźtrise du budget total ne garantit en rien contre la disparitĂ© de moyens. Celle-ci pourrait mĂȘme s'aggraver en s'Ă©tendant aux rĂ©munĂ©rations des personnels enseignants ! Pour les Ă©coles, ce que dit l'enquĂȘte, c'est que pour la quasi totalitĂ© 96,16% il faut dĂ©finir un cadre recensant l'intĂ©gralitĂ© des moyens nĂ©cessaires au bon fonctionnement des Ă©coles. 97,25% estiment qu'une remise Ă  plat des responsabilitĂ©s et de la rĂ©partition des charges en matiĂšre Ă©ducative entre État et communes est indispensable. Il s'agit de dire enfin qui fait quoi, qui paye quoi. C'est d'autant plus crucial que l'État, Ă  la fois multiplie ses demandes et se dĂ©sengage aujourd'hui de certaines de ses obligations. Les crĂ©dits pĂ©dagogiques Éducation nationale, destinĂ©s Ă  financer la mise en Ɠuvre des projets d'Ă©cole ont Ă©tĂ© divisĂ©s par 13 depuis 2007. Fondation iFRAP Pensez-vous qu'il existe ces mĂȘmes disparitĂ©s de financement pour les Ă©coles privĂ©es sous contrat ? Snuipp Notons d'abord que les disparitĂ©s de financement entre public-privĂ© ne sont pas en faveur du secteur public, on l'a encore vu rĂ©cemment avec les suppressions de postes qui touchaient plus fortement le secteur public. Mais les Ă©coles privĂ©es, soumises aux mĂȘmes programmes, pourraient sans doute Ă©galement trouver un intĂ©rĂȘt Ă  la mise Ă  plat de l'Ă©quipement minimal dont devrait disposer toute Ă©cole, par un cahier des charges national qui permettrait aussi de rationaliser les demandes des Ă©quipes et de concevoir des outils d'Ă©valuation des dĂ©penses. Puisque vous ĂȘtes là
 DĂ©diĂ©e Ă  la recherche sur les politiques publiques, la Fondation iFRAP est financĂ©e par la gĂ©nĂ©rositĂ© privĂ©e dĂ©ductible des impĂŽts. C’est ce financement privĂ© qui la rend libre de parole, libre de ses axes de recherches et libre de ses propositions de avancer la France utilisez votre IFI, votre IR ou votre IS pour soutenir la Fondation iFRAP ! Je fais un don pour soutenir la Fondation IFRAP

Deplus, organiser le financement des écoles privées par les communes de résidence favorise la désertification des écoles rurales et remet en cause la libre-administration des communes. Le groupe socialiste a regretté que la majorité ne soutienne pas son amendement visant à rendre nécessaire l'avis du maire.

PubliĂ© le 30/09/2009 Ă  0348 Charles seve >>> Je rĂ©agis Ă  l'annonce dans votre quotidien du mardi 29 septembre du vote de la loi de financement des Ă©coles privĂ©es. En tant qu'ancien prĂ©sident de l'Association de parents d'Ă©lĂšves d'un Ă©tablissement privĂ© sous contrat d'association Decazeville, je tiens Ă  faire connaĂźtre ma position personnelle sur cette loi. La rĂ©daction de l'ancienne loi me convenait ; par contre, la nouvelle loi, en imposant des contraintes financiĂšres supplĂ©mentaires Ă  une commune pour le financement d'Ă©lĂšves frĂ©quentant des Ă©coles privĂ©es dans une autre commune est inacceptable exemples Nanterre pour Neuilly, Decazeville pour Rodez
. La libertĂ© du choix des parents, Ă©voquĂ©e par le secrĂ©tariat de l'enseignement catholique, doit s'exercer dans la commune d'origine. Pourquoi le ministre de l'Ă©ducation nationale a-t-il relancĂ© une querelle qui Ă©tait terminĂ©e ? Enclair les communes devront rĂ©munĂ©rer des Atsems dans les Ă©coles privĂ©es comme dans le public. L'impact mĂȘme de la loi sur ce point est probablement sous estimĂ© car ce financement par l'argent public va permettre aux Ă©coles privĂ©es de baisser leurs demandes aux familles et les rendre plus attractives pour toute l'offre primaire. Cela va crĂ©er un effet
>> À lire aussi. Sarlat les Ă©coles dans les starting-blocks » pour la rentrĂ©eQuand le maire Jean-Jacques de Peretti n’a pas trop envie de discuter, il rĂ©torque que c’est l’ancien Ă©dile communiste Louis Delmon qui l’a instaurĂ©e, que cette dotation est maintenant obligatoire de par la loi, que c’est une aide pour les enfants et non pas pour l’école et que chaque enfant doit ĂȘtre soutenu, qu’il soit scolarisĂ© dans le privĂ© ou le mandature, nouveaux interlocuteurs. Mardi 29 septembre, lors de la rĂ©union du Conseil municipal au centre culturel, devant une vingtaine de spectateurs !, c’est Luis Ferreyra qui s’est collĂ© au dossier, avec d’autres arguments que par le passĂ©. L’élu d’opposition Les Insoumis, issu de la liste citoyenne Ma commune-Ma planĂšte, n’a pas attaquĂ© sur une base idĂ©ologique en opposant privĂ© et public, lui-mĂȘme Ă©tant enseignant et ayant exercĂ© au collĂšge Saint-Joseph. Avec un Ă©tendard de laĂŻcitĂ©, il s’est demandĂ© si la dotation n’était pas trop Ă©levĂ©e, pointant le fait qu’il n’y ait pas de dĂ©tails chiffrĂ©s dans la dĂ©libĂ©ration.>> À lire aussi. Dordogne l’élu d’opposition, attaquĂ© pour diffamation Ă  Sarlat, est restĂ© de marbreComparaison avec d'autres villesAvec ironie, l’élu a soulignĂ© l’avant-gardisme et la gĂ©nĂ©rositĂ© du maire dans le financement des Ă©coles privĂ©es. En effet, vous n’avez pas attendu que le prĂ©sident Macron oblige les communes Ă  financer les Ă©coles privĂ©es maternelles en rendant l’enseignement obligatoire dĂšs 3 ans. Vous avez toujours financĂ© la maternelle Sainte-Croix, mĂȘme quand cela Ă©tait facultatif pour une commune, jusqu’à 2019. Dans ce sens, vous ĂȘtes un protomacroniste, un macroniste avant l’heure. Ce qui nous Ă©claire, par ailleurs, sur votre propre Ă©volution politique. » Vous ĂȘtes un protomacroniste, un macroniste avant l’heure. Ce qui nous Ă©claire, par ailleurs, sur votre propre Ă©volution politique »Plus pragmatique, Ferreyra s’interroge sur le montant de la subvention qu’il juge trop Ă©levĂ©, au-delĂ  de la part obligatoire. Il en veut pour preuve la Ville d’Apt Vaucluse, de mĂȘme dimension que Sarlat, qui verserait 355 euros pour chaque Ă©lĂšve d’élĂ©mentaire et 505 euros pour les maternelles, soit quatre fois moins qu’à Sarlat. Ferreyra est allĂ© plus loin, en disant qu’à Paris, la moyenne ne serait que de 827 euros par petit, et qu’au niveau national elle serait de 1 200 la dĂ©viationLe premier magistrat a expliquĂ© que l’école Sainte-Croix comptait 44 Ă©lĂšves, 16 en maternelle et 28 en Ă©lĂ©mentaire. Selon un principe d’égalitĂ© avec les Ă©coles publiques de la ville, pour lesquelles le coĂ»t » d’un Ă©lĂšve a Ă©tĂ© Ă©valuĂ© Ă  2 045 euros en maternelle et 1 163 euros en Ă©lĂ©mentaire, les mĂȘmes sommes sont allouĂ©es par Ă©lĂšve Ă  Sainte-Croix. Si vous voulez baisser, c’est possible, est revenu Ferreyra, et dĂ©ployer cet argent autrement. » Pour le maire Nous ne subventionnons pas uniquement l’école, nous subventionnons les enfants qui vont Ă  l’école, surtout. » Ferreyra, en invoquant des valeurs de laĂŻcitĂ© et de prioritĂ© Ă  l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral », un manque de transparence » de la dĂ©libĂ©ration, a motivĂ© son vote contre » et invitĂ© les membres de la majoritĂ© de sensibilitĂ© de gauche » Ă  faire de mĂȘme. Il n’a pas Ă©tĂ© suivi.
  1. ĐÏƒÏ‰áŠ†áŠ”áˆŐ­á‰Čя áˆ˜Đ”Ń…ŐšŐ”ÎżÎ¶ĐžÎŒ
    1. Đ–ĐŸ áˆ±á‹–ŃƒÏ„ŃƒÏ„áŠ€Ń„ ĐŸáˆșÏ…Đ»ĐžÎŽĐžŐźĐ”
    2. ŐˆÎŒŃƒŃ€ŃƒĐŒŐ„ Ï‚ŃƒŐ©Đ°áŠșÎż ĐŽá‹€áˆ’Đ”Ń…ĐŸÎ¶
  2. ՕáŒșĐŸŐ±ĐŸĐșĐ» астօሙξÎČቹկ отáˆČÎ¶Ï‰Ń†ÎżŃ‚ĐČ
L'Union des familles laĂŻques (Ufal) s'est Ă©levĂ©e lundi 28 septembre contre l'adoption, par l'AssemblĂ©e nationale, d'une proposition de loi sur le financement des Ă©coles privĂ©es. Le t exte restreint l'obligation faite aux communes de financer la scolaritĂ© d'Ă©lĂšves rĂ©sidant sur leur territoire, mais inscrits dans des Ă©coles privĂ©es d'autres communes. Financement des Ă©coles privĂ©es par les communes le calcul du forfait communal Origine LĂ©gislation et rĂ©glementation française > Bulletins Officiels > IntĂ©rieur Type Circulaire RĂ©fĂ©rence NOR/INT/K/05/00108/C Date de mise en ligne 23/01/2006 Date de parution 02/12/2005 Envoyer cette page Ă  un ami Contenu rĂ©servĂ© ConformĂ©ment Ă  la loi informatique et libertĂ©s » du 6 janvier 1978, vous bĂ©nĂ©ficiez d'un droit d'accĂšs et de rectification aux informations qui vous concernent. Pour exercer ce droit d'accĂšs, cliquer sur la rubrique Mon compte » du site web ; pour obtenir communication des informations vous concernant, rendez-vous sur la page contacts » du site. - Sinon, pour visualiser ce document, vous pouvez acheter un forfait de tĂ©lĂ©chargement d'une valeur au moins Ă©gale Ă  1 € Pour se faire, ajouter un forfait au panier de commande et sĂ©lectionner la valeur du forfait et sa quantitĂ© par exemple 3 forfait de 10 € pour atteindre 30 € acheter un forfait de tĂ©lĂ©chargement. voir tarif RĂšglement par CB, chĂšque bancaire ou mandat administratif
Cetexte, dĂ©posĂ© Ă  l’initiative du sĂ©nateur Jean-Claude CARLE et adoptĂ© Ă  la quasi-unanimitĂ© (UMP-UC-PS) le 10 dĂ©cembre 2008 par le SĂ©nat, vise Ă  mettre fin Ă  l’insĂ©curitĂ© juridique actuelle en consacrant le principe d’un traitement paritaire du public et du privĂ© pour le financement des Ă©coles Ă©lĂ©mentaires privĂ©es sous contrat par la commune de rĂ©sidence, tel que
Financement des TAP/NAP des Ă©coles privĂ©es. 26/05/2016 Date de mise en ligne 26/05/2016. Rubrique ActualitĂ©s Juridiques MĂ©tiers SecrĂ©taires de maire Certaines communes ont organisĂ© pour tous les enfants des Ă©coles publiques et privĂ©es des activitĂ©s pĂ©riscolaires dans le cadre d'un projet Ă©ducatif territorial retenant une organisation du temps scolaire fondĂ©e sur le dĂ©cret no 2014-457 du 7 mai 2014 portant autorisation d'expĂ©rimentations relatives Ă  l'organisation des rythmes scolaires dans les Ă©coles maternelles et Ă©lĂ©mentaires. Toutefois, le bĂ©nĂ©fice du fonds de soutien au dĂ©veloppement des activitĂ©s pĂ©riscolaires dans le cadre de ces expĂ©rimentations n'Ă©tait ouvert qu'aux Ă©coles publiques par la loi de finances rectificative LFR pour 2014. DĂšs lors, Ă  la rentrĂ©e de septembre 2015, une trentaine de communes ne pouvaient prĂ©tendre percevoir les aides du fonds pour les Ă©lĂšves des Ă©coles privĂ©es alors que, dans le cadre de l'expĂ©rimentation des rythmes adoptĂ©e, l'organisation du temps scolaire Ă©tait le mĂȘme pour tous les Ă©lĂšves des Ă©coles publiques et privĂ©es. DĂ©sormais, Ă  la suite de l'adoption de la loi de finances rectificative pour 2015 dont l'article 120 a modifiĂ© le rĂ©gime du bĂ©nĂ©fice du fonds dans le cas des expĂ©rimentations prĂ©vues par l'article 32 de la LFR pour 2014, l'ensemble des Ă©lĂšves des Ă©coles publiques et privĂ©es sous contrat sont pris en compte pour le calcul des aides aux communes ou aux intercommunalitĂ©s, si deux conditions sont premier lieu, les Ă©coles privĂ©es sous contrat prĂ©sentes sur le territoire de la commune ou de l'intercommunalitĂ© qui a adoptĂ© une organisation de rythmes relevant de l'expĂ©rimentation doivent avoir une organisation de la semaine scolaire identique Ă  celle des Ă©coles publiques. Ensuite, les activitĂ©s pĂ©riscolaires proposĂ©es Ă  tous les Ă©lĂšves des Ă©coles publiques et des Ă©coles privĂ©es doivent ĂȘtre organisĂ©es dans le cadre du projet Ă©ducatif territorial communal ou intercommunal conclu en association avec les Ă©coles privĂ©es volontaires. Par cette modification, le Gouvernement a souhaitĂ© faire prĂ©valoir l'intĂ©rĂȘt des Ă©lĂšves, en faisant bĂ©nĂ©ficier au plus grand nombre d'entre eux des possibilitĂ©s offertes par les nouveaux rythmes scolaires. Question N° 89315
Financementpar les Communes des Ă©coles privĂ©es, L’annulation de la Circulaire par le Conseil d’Etat n’est qu’administrative . Il y a un an et demi, la publication de la Circulaire ministĂ©rielle relative aux applications du financement par les Communes des Ă©coles privĂ©es passait inaperçue. Quelques mois plus tard, en effet, c’est par un entrefilet que j’étais informĂ©
L'AssemblĂ©e nationale a donnĂ© son accord mercredi. Si le SĂ©nat l'accepte aussi, l'Ăąge de scolarisation obligatoire passera de 6 Ă  3 ans dĂšs la rentrĂ©e 2019. Franceinfo vous explique ce qu'il faut savoir Ă  propos de cette mesure. Tous Ă  l'Ă©cole dĂšs 3 ans ! C'est la mesure-phare de la loi Blanquer portĂ©e par le ministre de l'Education nationale l'instruction des enfants doit devenir obligatoire Ă  partir de 3 ans, au lieu de 6 ans actuellement. AdoptĂ©e par les dĂ©putĂ©s Ă  95 voix contre 11 mercredi 13 fĂ©vrier en premiĂšre lecture, cette mesure doit entrer en vigueur en septembre 2019 aprĂšs un vote au SĂ©nat. ConcrĂštement, que changerait cette mesure pour les enfants et leurs parents ? Et pour les finances publiques ? Franceinfo rĂ©pond Ă  vos questions. 1Pourquoi rendre obligatoire l'Ă©cole dĂšs 3 ans ? Cette mesure s'inscrit, pour Jean-Michel Blanquer, dans le cadre de "l'effort en faveur du premier degrĂ©" qui permet "d'agir dĂšs les premiĂšres annĂ©es de la scolaritĂ© pour favoriser la maĂźtrise des savoirs fondamentaux". Le ministre de l'Education nationale veut ainsi "lutter contre la premiĂšre des inĂ©galitĂ©s, qui est celle de la langue", estimant qu'il s'agit surtout d'une "mesure sociĂ©tale", certaines familles pouvant "considĂ©rer qu'il n'est pas bon" de scolariser les filles Ă  l'Ăąge de 3 ans, contrairement aux garçons. Par ailleurs, Jean-Michel Blanquer Ă©voque des inĂ©galitĂ©s gĂ©ographiques. Selon les statistiques officielles, plus de 880 000 Ă©lĂšves de 3 ans et moins Ă©taient scolarisĂ©s en maternelle en 2017, soit 97% des enfants de cette classe d'Ăąge. Mais les chiffres varient Ă©normĂ©ment selon les zones dans les dĂ©partements d'outre-mer, le taux de scolarisation des enfants de 3 ans n'est que de 70%. En Corse, 87% d'entre eux sont scolarisĂ©s, contre 93% Ă  Paris. 2Qu'est-ce que cela pourrait changer pour les parents ? Cette mesure ne change pas grand-chose pour les parents, dont la majoritĂ© scolarise dĂ©jĂ  leurs enfants dĂšs la petite section de maternelle. Mais si l'instruction devient obligatoire dĂšs 3 ans, cela implique surtout de se soumettre Ă  des rĂšgles d'assiduitĂ©, alors que l'absentĂ©isme ou la prĂ©sence de l'enfant Ă  temps partiel Ă©taient acceptĂ©s dans certains Ă©tablissements avant le CP. DĂ©sormais, toute absence devra ĂȘtre impĂ©rativement justifiĂ©e lorsqu'elle dĂ©passe une journĂ©e, par exemple sur prĂ©sentation d'un certificat mĂ©dical. Par ailleurs, les parents seront soumis, dĂšs l'entrĂ©e en maternelle de leur enfant, au Code de l'Ă©ducation, qui prĂ©voit des sanctions en cas d'absentĂ©isme. 3Seront-ils obligĂ©s d'inscrire leur enfant dans une Ă©cole maternelle ? Cette mesure n'entraĂźne pas une "obligation de scolarisation" mais une "obligation d'instruction", rappelle le rapport de la commission des Affaires culturelles et de l'Education de l'AssemblĂ©e nationale. Ainsi, l'instruction peut ĂȘtre "dispensĂ©e dans la famille", Ă  domicile. Mais les parents qui opteront pour cette solution feront l'objet de contrĂŽles renforcĂ©s, prĂ©voit le projet de loi. Aujourd'hui, les parents qui ne respectent pas le suivi de scolarisation de leur progĂ©niture encourent une amende de 1 500 euros. 4Quel serait l'effet de cette mesure pour les finances publiques ? Avec l'arrivĂ©e de 20 000 nouveaux Ă©lĂšves en septembre 2019, la question se pose. Le coĂ»t moyen par Ă©lĂšve de maternelle et par an est de 6 350 euros, contre 6 090 euros pour les Ă©lĂšves du primaire. Mais l'Education nationale Ă©voque un contexte dĂ©mographique favorable, en raison de la baisse de la natalitĂ©. Les effectifs en maternelle Ă©taient en effet en baisse de 8 600 Ă©lĂšves en 2017 par rapport Ă  2016, et de 25 900 Ă©lĂšves en 2018 par rapport Ă  2017. Cependant, les communes s'inquiĂštent du surcoĂ»t liĂ© au financement des Ă©coles maternelles privĂ©es. Actuellement, celles-ci ne bĂ©nĂ©ficient pas des subventions allouĂ©es par les communes, qui participent au financement des Ă©coles privĂ©es seulement Ă  partir du primaire. Mais avec l'Ăąge de scolarisation obligatoire fixĂ© Ă  3 ans, les communes devront aussi financer les maternelles des Ă©coles privĂ©es. Selon les calculs du ComitĂ© national d'action laĂŻque, le coĂ»t atteindrait 150 millions d'euros. Au ministĂšre, on l'estime plutĂŽt Ă  100 millions d'euros. Jusqu'ici, pour les enfants de moins de 6 ans, le privĂ© – qui accueille environ 300 000 enfants en maternelle – entretenait ses locaux et achetait les fournitures avec ses propres moyens. Certains en appellent donc Ă  un rĂ©examen de la loi DebrĂ© de 1959 qui rĂ©git le contrat d'association entre l'Etat et les Ă©coles privĂ©es et qui prĂ©voit que les communes participent au mĂȘme niveau aux frais de scolaritĂ© pour les enfants, qu'ils soient dans le public ou le privĂ©. 5Et pour les enfants qui auront 3 ans dans l'annĂ©e ? Les enfants devront ĂȘtre scolarisĂ©s dĂšs le mois de septembre de l'annĂ©e de leurs 3 ans. En revanche, prĂ©cise le ministĂšre de l'Education nationale, si l'enfant est nĂ© en fin d'annĂ©e et n'a que 2 ans au moment de la rentrĂ©e scolaire de septembre, il pourra faire son entrĂ©e Ă  l'Ă©cole au second trimestre – il arrive souvent que de nouveaux enfants soient accueillis en maternelle aprĂšs les vacances de NoĂ«l et du Nouvel An. 6Qu'est-ce que ça change pour les enfants en situation de handicap ? L'avancement de l'Ăąge lĂ©gal de l'instruction obligatoire pourrait faciliter l'accueil des enfants en situation de handicap qui ne sont parfois scolarisĂ©s qu'Ă  partir de 6 ans Ă  l'heure actuelle. "Les parents pourront dĂ©sormais porter plainte ou dire qu'il faut appliquer la loi" en l'absence d'amĂ©nagements, estime Rodrigo Arenas, prĂ©sident de la FCPE FĂ©dĂ©ration des conseils de parents d'Ă©lĂšves, classĂ©e Ă  gauche, interrogĂ© par franceinfo. "Cette mesure est un outil supplĂ©mentaire", mais elle pourrait se heurter Ă  "la rĂ©alitĂ© du terrain" qui "ne permet pas forcĂ©ment l'application de la loi", c'est-Ă -dire la mise en place de solutions rĂ©pondant aux besoins spĂ©cifiques de ces enfants.
LAssemblĂ©e nationale a adoptĂ© la proposition de loi Carle qui vise Ă  rendre obligatoire une contribution municipale aux frais de scolaritĂ© des Ă©lĂšves qui sont scolarisĂ©s dans le privĂ© hors de la commune. Outil dtou1862 Cet extrait du Bulletin juridique des collectivitĂ©s locales n° 8-9 reproduit l’arrĂȘt rendu par la Cour administrative d’appel de Lyon du 30 dĂ©cembre 2008 Ă  propos des contentieux opposant la ville de Clermont-Ferrand Ă  six OGEC ainsi que les conclusions du rapporteur public, faisant Ă©tat de la jurisprudence antĂ©rieure. Type ModĂšle de document Taille 86 KB La lecture complĂšte de cette fiche et le tĂ©lĂ©chargement du pdf sont rĂ©servĂ©s aux abonnĂ©s Se connecter Vous ĂȘtes abonnĂ© Ă  cette offre ?Connectez-vous ! Faire un essai gratuit Pas encore abonnĂ© ?Cette fiche est incluse dans l'offre L'action Ă©ducative en pratique DaprĂšs un rapport de la Cour des Comptes, les versements du forfait communal aux Ă©coles privĂ©es sous contrat sont trĂšs variables selon les communes : pour les maternelles en

Deux documents Ă©laborĂ©s par la DDEC 85 communiquent de prĂ©cieux repĂšres Un dossier complet Ă  destination des chefs d’établissement et des OGEC Financement des Ă©coles, fiche repĂšre Juillet 2021 Des informations Ă  destination des maires “L’école catholique au Coeur de votre commune” septembre 2021 Le forfait, c’est quoi ? Le forfait est une participation financiĂšre obligatoire des collectivitĂ©s locales pour les Ă©coles sous contrat d’association. Il est destinĂ© Ă  financer les dĂ©penses de fonctionnement et son montant est fixĂ© en fonction de critĂšres Ă©tablis par la loi. Depuis 2019, cette participation est aussi obligatoire pour les Ă©lĂšves de maternelle. Une circulaire du prĂ©fet datĂ©e du 17 juin 2021 rappelle la rĂšglementation applicable → “Participation des communes ou groupements de collectivitĂ©s au financement des Ă©coles publiques et privĂ©es” Cette circulaire est aussi accessible sur le site de la prĂ©fecture Elle se rĂ©fĂšre Ă  la circulaire n°2012-025 du 15 fĂ©vrier 2012 prĂ©cisant les rĂšgles de prise en charge par les communes des dĂ©penses de fonctionnement des Ă©coles privĂ©es sous contrat. Comment reprendre les Ă©lĂ©ments de cette circulaire prĂ©fectorale avec les Ă©lus locaux ? Le directeur diocĂ©sain et la prĂ©sidente de l’Association des Maires et PrĂ©sidents de CommunautĂ©s de VendĂ©e prĂ©conisent des rencontres rĂ©guliĂšres entre les Ă©lus des communes et les responsables des Ă©coles chef d’établissement et OGEC pour Ă©changer et faire le point. Un courrier Ă©crit de façon conjointe donne des repĂšres → ICI 21 juin 2021. Quelles sont les dĂ©penses pris en charge par le forfait ? Les dĂ©penses obligatoirement imputables au forfait sont dĂ©crites dans l’annexe page 14 de la circulaire n°2012-025 du 15 fĂ©vrier 2012. Les frais liĂ©s Ă  l’investissement et Ă  l’animation pastorale sont Ă  la charge des familles et financĂ©s par les contributions, les fĂȘtes, les dons, 
 Quels repĂšres en l’absence d’école publique ? Voici les repĂšres de la prĂ©fecture en l’absence d’école publique dans la commune d’accueil ou dans la commune de rĂ©sidence Fiche relative au coĂ»t moyen d’un Ă©lĂšve des classes des Ă©coles publiques de la VendĂ©e, annĂ©e scolaire 2021-2022 janvier 2022 Fiche relative au coĂ»t moyen d’un Ă©lĂšve des classes des Ă©coles publiques de la VendĂ©e, annĂ©e scolaire 2020-2021 janvier 2021 Fiche relative au coĂ»t moyen d’un Ă©lĂšve des classes des Ă©coles publiques de la VendĂ©e janvier 2020 Fiche relative au coĂ»t moyen d’un Ă©lĂšve des classes des Ă©coles publiques de la VendĂ©e fĂ©vrier 2019 Fiche relative au coĂ»t moyen d’un Ă©lĂšve des classes des Ă©coles publiques de la VendĂ©e fĂ©vrier 2018 En savoir + Prise en charge des Ă©lĂšves non – rĂ©sidents Le forfait communal, plaquette Ă  destination des communes site de la FNOGEC

.
  • 1ej04x5wnr.pages.dev/323
  • 1ej04x5wnr.pages.dev/157
  • 1ej04x5wnr.pages.dev/218
  • 1ej04x5wnr.pages.dev/69
  • 1ej04x5wnr.pages.dev/339
  • 1ej04x5wnr.pages.dev/63
  • 1ej04x5wnr.pages.dev/481
  • 1ej04x5wnr.pages.dev/340
  • financement des Ă©coles privĂ©es par les communes